dimanche, 29 mars 2015
Dimanche des Rameaux
Crédits photographiques Jana Hobeika
Psaume 21
Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »
Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure ;
ils me percent les mains et les pieds,
je peux compter tous mes os.
Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
Mais tu m’as répondu !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur.
13:37 Publié dans Foi | Lien permanent | Commentaires (0)
Strauss - PEPA
https://www.youtube.com/watch?v=0oqRBmuRM2A
Dans la fratrie Strauss, j'ai toujours eu une prédilection pour Josef, le cadet, - davantage que pour Johann, l'aîné, ou Eduard, le benjamin... Johann lui-même reconnaissait volontiers : "C'est, de nous trois, Josef qui est le plus sensible, le plus artiste, et le plus doué, comme musicien... heureusement, c'est moi qui reste le plus populaire"... émoticône wink
Il serait malveillant d'ajouter que la mort précoce de Josef laissa définitivement la royauté de la valse viennoise à son aîné, - et que celui-ci en fut "inconsolablement" soulagé... émoticône devil
Cela dit, c'est Josef, ce jouisseur mélancolique, qui "inventa" la recette qui fit la fortune de Johann, - et l'aida, par ses trouvailles, à hausser la valse à un niveau musical qui outrepassait le simple accompagnement à trois temps, strictement cadencé pour les frottages de parquet ciré du bout de l'escarpin verni...
J'ignore si c'est, - autour de ses opus 100-110, dans les années 1860 -, à cause de la certitude qu'il avait de mourir jeune, des suites fatales d'une leucémie endémique, compliquée de syphilis, que Josef Strauss se mit à avoir ce qu'on peut bien appeler du génie, - et une touche personnelle de composition qui, d'un coup, révolutionna la musique de danse...
C'est lui, en tout cas, qui agrémenta la valse d'un climat et d'une forme de véritable "poème symphonique", voire "psychologique"... en y adjoignant une introduction "d'atmosphère", de plus en plus longue et développée, - et en y osant, dans les variations et le développement, des modulations et des raffinements harmoniques et orchestraux dignes de la salle de concert...
Ce n'est pas un hasard, si "l'autre Strauss" de Bavière, - Richard - quand il voulut honorer le "Wiener Geist", à travers les diverses citations et subtiles mises en abymes de son "Rosenkavalier" emprunta (pour évoquer la Vienne de Mozart et de Marie-Thérèse...! émoticône grin ) le thème, non d'une valse de Johann... mais, de l'une des plus belles et troublantes qu'ait composées Josef : "Dynamiden"... dont le "programme" est, d'ailleurs, presque une anticipation, avant la lettre, de ce que pépé Siegmund couchera sur le divan, et aura de plus cher... puisqu'il s'agit d'y évoquer ces "puissances secrètes et mystérieuses des sens et de l'esprit qui attirent les êtres, malgré eux, l'un à l'autre, comme un fluide irrésistible d'électricité"...
Le désir, quoi... et, le plaisir, mesdames...!
Pierre-Emmanuel Prouvost d'Agostino
15 mars 2015
> Pour un quizz : http://www.quizz.biz/quizz-319327.html
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Musique, Peinture, Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : strauss, valse
samedi, 28 mars 2015
Blagounettes sur le cinéma
07:05 Publié dans Farce et attrape, Les mots des films | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 27 mars 2015
Very fast food
07:00 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fast food
jeudi, 26 mars 2015
What's wrong with this picture ?
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https://www.youtube.com/watch?v=26cnJJUYVrs
http://erichenrique.deviantart.com/art/Like-father-like-son-350272839
http://thisiswhyyoureold.com/like-father-like-son/
http://dailypicksandflicks.com/2011/07/19/daily-picdump-187/like-father-like-son-3/
http://drolesdemums.com/drole-de-dad/psycho-papa/mon-fils-ressemble-bonne-mauvaise-nouvelle
http://www.ma-chienne-de-vie.com/2014/03/tel-pere-tel-fils.html
http://xaxor.com/funny-pics/funny-like-father-like-son-part-2.html/attachment/like-father-like-son-part2-16
http://www.atypique.co/tel-pere-tel-fils-fille-10-photos-qui-le-prouvent/41756/
http://xaxor.com/funny-pics/funny-like-father-like-son-part-2.html
http://klyker.com/like-father-like-son-41-photos/like-father-like-son-32/
> Davantage par ici http://www.ma-chienne-de-vie.com/2014/03/tel-pere-tel-fil...
http://www.atypique.co/tel-pere-tel-fils-fille-10-photos-...
http://www.marichesse.com/article-les-10-photos-d-un-tel-...
http://www.topito.com/top-tel-pere-tel-fils
http://imgur.com/gallery/La0yY
07:06 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : like father like son, tel père tel fils
mercredi, 25 mars 2015
Chez Prévert
Documentaire France 5 : Une maison, un écrivain - Jacques Prévert, l'univers de la cité Véron (2012, durée 26 minutes)
Longtemps bohème et nomade, naviguant d'hôtels en meublés entre Paris et le Sud de la France, Jacques Prévert s'installe en 1955 avec sa femme et sa fille à Pigalle, au 6 bis de la cité Véron. La famille est «voisine de terrasse» de Boris et Ursula Vian. Jacques Prévert restera vingt ans cité Véron, jusqu'en 1975 - il s'est éteint deux ans plus tard, en 1977. Aujourd'hui, l'appartement, resté inchangé et préservé, abrite les archives du poète.
A consulter pour une visite guidée :
http://blogs.lexpress.fr/styles/tendance/2010/06/07/ma_visite_chez_prevert/
07:00 Publié dans Documentaires, Les mots des films, Photographie, Portraits de personnalités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jacques, prévert
mardi, 24 mars 2015
Comment fabrique-t-on un trombone ?
07:00 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0)