lundi, 21 avril 2014
La Résurrection du Christ - Grünewald, Tintoret, Veronese
La Résurrection, Mathias Grünewald
La Résurrection du Christ, Tintoret
> A consulter également : http://www.e-venise.com/scuole_venise/scuola_grande_san_r...
La Résurrection du Christ, Paolo Veronese
> A consulter également : http://www.wikipaintings.org/en/paolo-veronese
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dimanche, 20 avril 2014
Lacrimosa
Jeune pousse,
Écoute
Et chante
Pietà de Villeneuve-lès-Avignon, Enguerrand Charonton
Musée du Louvre
http://www.youtube.com/watch?v=k1-TrAvp_xs
Quatuor et piano
http://www.youtube.com/watch?v=0xgiSl-KibQ#aid=P6pkCPMtcOA
http://www.youtube.com/watch?v=hrtOXih-myU
Le Requiem se trouve ici
http://fichtre.hautetfort.com/archive/2014/02/20/requiem-mozart.html
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07:00 Publié dans Beaux-Arts, Foi, Musique, Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gustave moreau, pieta
dimanche, 13 avril 2014
La Beauté a sauvé le Monde
Arrivée de Jésus à Jérusalem, Gustave Doré
24 mars 2013, dimanche des Rameaux et de la Passion :
"La Beauté a sauvé le monde", Père Luc de Bellescize, paroisse Notre-Dame de Grâce de Passy
Le "plus beau des enfants des hommes" (Ps 45, 3) acclamé aux Rameaux se fera "sans beauté ni éclat, sans apparence qui nous séduise, homme de douleur, familier de la souffrance, devant qui on se voile la face" (Is 53, 3) au jour du Vendredi saint. S'il est une "beauté qui sauve le monde", selon le mot de Dostoïevsky, ce n'est pas celle qui séduit en attirant à elle-même, c'est celle qui conduit au Père, à travers le grand passage de la mort. C'est la beauté du Christ qui a pris sur lui "la laideur du Mal", pour la vaincre dans la splendeur de sa Résurrection.
"Il faut que le Fils de l'homme souffre beaucoup" (Lc 9, 22). Cette "nécessité" que le Seigneur assume ne lui vient pas de l'extérieur - "Ma vie, nul ne la prend, dit Jésus, mais c'est moi qui la donne" (Jn 10, 18), elle est celle de la Charité même de Dieu qui veut chercher l'homme jusqu'au ravin des ténèbres. Et il n'est pas de ténèbres plus grandes que de découvrir au fond de soi que nous voulons la mort du Juste, et même la mort de Dieu. "Un soir j'ai assis la Beauté sur mes genoux, écrit Rimbaud dans Une saison en enfer, et je l'ai trouvée amère, et je l'ai injuriée". La puissance du matérialisme athée, la montée du nihilisme dans la déconstruction des fondements anthropologiques, qui est le véritable drame de notre société - et pas d'abord celui d'un prétendu conflit des religions, qui sert souvent de prétexte pour imposer un laïcisme radical - semblent écraser au cœur de l'homme tout élan vers Dieu. La douloureuse Passion assume aussi cela. "Il faut que le Fils de l'homme soit rejeté" (Lc 9, 22). "Car il faut, disait le cardinal Lustiger, que la volonté de mort et de destruction qui habite le cœur de l'homme soit manifestée", pour que le Christ la brise sur la douceur de Dieu. Le corps blessé du Christ est le signe de sa Miséricorde, de la Présence divine qui résonne aux profondeurs du Mal, afin que nul homme ne puisse dire qu'il souffre seul, ou qu'il meurt seul, afin que nul ne puisse dire qu'il est rejeté de Dieu, car Dieu a pris la place du rejeté.
Nous annonçons "Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié" (I Co 2, 2). Nous annonçons le Roi, qui règne par sa Croix. Le Christ s'est laissé blesser pour sauver l'homme blessé. Dieu a voulu connaître la mort en l'humanité du Fils, pour libérer l'homme de la mort, et de notre lien de connivence avec les ténèbres. Car aucun d'entre nous n'est "vierge" face à la mort. Par le péché qui fait en nous son œuvre, chacun de nous a posé son pied dans la tombe. Si nous pouvons devenir des êtres libres, y compris face à la mort, c'est parce que nous sommes cachés dans les plaies de Jésus crucifié. "Dans tes blessures, cache-moi", dit saint Ignace de Loyola dans sa belle prière de l'Anima Christi, "à ma mort appelle moi, afin qu'avec les saints je te loue pour les siècles des siècles. Amen". !
Père Luc de Bellescize
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dimanche, 06 avril 2014
Le Noël desprogien
Au moment où nous assimilons physiologiquement le passage à "l'heure d'été"
A mesure que l'insomnie s'emplit de l'autre mélancolie
En plein carême dans l'attente de Pâques
Soit au moment de l'année le plus éloigné de Noël
Extrait du Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis, 1997, Pierre Desproges, Seuil :
Noël : nom donné par les chrétiens à l'ensemble des festivités commémoratives de l'anniversaire de la naissance de Jésus-Christ, dit "le Nazaréen", célèbre illusionniste palestinien de la première année du premier siècle pendant lui-même.
Chez le chrétien moyen, les festivités de Noël s'étalent du 24 décembre au soir au 25 décembre au crépuscule.
Ces festivités sont : le dîner, la messe de minuit (facultative), le réveillon, le vomi du réveillon, la remise des cadeaux, le déjeuner de Noël, le vomi du déjeuner de Noël et la bise à la tante qui pique.
Le dîner : généralement frugal ; rillettes, pâté, coup de rouge, poulet froid, coup de rouge, coup de rouge. Il n'a d'autre fonction que de "caler" l'estomac du chrétien afin de lui permettre d'attendre l'heure tardive du réveillon sans souffrir de la faim.
La messe de minuit : c'est une messe comme les autres, sauf qu'elle a lieu à vingt-deux heures, et que la nature exceptionnellement joviale de l'événement fêté apporte à la liturgie traditionnelle un je-ne-sais-quoi de guilleret qu'on ne retrouve pas dans la messe des morts.
Au cours de ce rituel, le prêtre, de son ample voix ponctuée de grands gestes vides de cormoran timide, exalte en d'ennuquiens aigus à faire vibrer le temps, la liesse béate et parfumée des bergers cruciphiles descendus des hauteurs du Golan pour s'éclater le surmoi dans la contemplation agricole d'un improbable dieu de paille vagissant dans le foin entre une viande rouge sur pied et un porte-misère borné, pour le rachat à long terme des âmes des employés de bureau adultères, des notaires luxurieux, des filles de ferme fouille-tiroir, des chefs de cabinet pédophiles, des collecteurs d'impôts impies, des tourneurs-fraiseurs parjures, des O.S. orgueilleux, des putains colériques, des éboueurs avares, des équarisseurs grossiers, des préfets fourbes, des militaires indélicats, des manipulateurs-vérificateurs méchants, des informaticiens louches, j'en passe et de plus humains.
A la fin de l'office, il n'est pas rare que le prêtre larmoie sur la misère du monde, le non-respect des cessez-le-feu et la détresse des enfants affamés, singulièrement intolérable en cette nuit de l'Enfant.
Le réveillon : c'est le moment familial où la fête de Noël prend tout sons sens. Il s'agit de saluer l'avènement du Christ en ingurgitant, à dos limite avant éclatement, suffisamment de victuailles hypercaloriques pour épuiser en un soir le budget mensuel d'un ménage moyen. D'après les chiffres de l'UNICEF, l'équivalent en riz complet de l'ensemble foie gras-pâté en croûte-bûche au beurre englouti par chaque chrétien au cours du réveillon permettrait de sauver de la faim pendant un an un enfant du Tiers Monde sur le point de crever le ventre caverneux, le squelette à fleur de peau, et le regard innommable de ses yeux brûlants levé vers rien sans que Dieu s'en émeuve, occupé qu'Il est à compter les siens éructant dans la graisse de Noël et flatulant dans la soie floue de leurs caleçons communs, sans que leur cœur jamais ne s'ouvre que pour rôter.
La remise des cadeaux : après avoir vomi son réveillon, le chrétien s'endort l'âme en pais. Au matin, il mange du bicarbonate de soude et rote épanoui tandis que ses enfants gras cueillent sur un sapin mort des tanks et des poupées molles à tête revêche comme on fait maintenant.
Le déjeuner de réveillon : la panse ulcérée et le fois sur les genoux, le chrétien néanmoins se rempiffre à plein groin, se revautre en couinant de plaisir dans les saindoux compacts, les tripailles sculptées de sons cousin cochon et les pâtisseries immondes, indécemment ouvragées en bois mort bouffi. Ô bûche de Noël, indécents mandrins innervés de pistache infamante et cloqués de multicolores gluances hyperglycémiques, plus douillettement couchées dans la crème que Jésus sur le paille, vous êtes le vrai symbole de Noël.
La bise à la tante qui pique : après avoir vomi son déjeuner, le chrétien reçoit la tante qui pique et la donne à sucer à ses enfants. Si elle pique beaucoup, la tante qui pique devra attendre le Nouvel An pour que les enfants du chrétien aillent lui brouter le parchemin maxillaire contre deux cents grammes de confiseries.
Le Nouvel An est l'occasion de festivités exactement semblables à celles de Noël, à ce détail près qu'il s'agit cette fois d'un rite païen.
Se procurer l'ouvrage :
Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis
Pierre Desproges
1997 et 2013
Coll. Points, Seuil
138 pages
www.amazon.fr/Dictionnaire-superflu-lusage-l%C3%A9lite-nantis/dp/2757833979
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dimanche, 30 mars 2014
Au désert
La tentation du Christ au désert, Gustav Doré
Seigneur, avec Toi, nous irons au désert,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Seigneur, avec Toi, nous irons au désert,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Et nous mangerons la parole de Dieu.
Et nous choisirons notre Dieu.
Et nous fêterons notre Pâque au désert :
Nous vivrons le désert avec toi.
Seigneur, nous irons, au désert, pour guérir,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Seigneur, nous irons, au désert, pour guérir,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Et tu ôteras de nos cœurs le péché.
Et tu guériras notre mal.
Et nous fêterons notre Pâque au désert :
Ô vivant qui engendre la vie.
Seigneur, nous irons, au désert, pour prier,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Seigneur, nous irons, au désert, pour prier,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Et nous goûterons le silence de Dieu.
Et nous renaîtrons dans la joie.
Et nous fêterons notre Pâque au désert :
Nous vivrons dans la force de Dieu.
Seigneur, nous irons, au désert, vers ta croix,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Seigneur, nous irons, au désert, vers ta croix,
Poussés, comme Toi, par l'Esprit.
Et nous te suivrons au désert pas à pas.
Et nous porterons notre croix.
Et nous fêterons notre Pâque au désert :
Nous vivrons la folie de la Croix.
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dimanche, 23 mars 2014
Requiem - Mozart, Karajan, Solti
Karajan
http://www.youtube.com/watch?v=78KtEjdAszw
06:13 Requiem
16:18 Dies irae 18:24 Tuba mirum
21:31 Rex tremendae 23:36 Recordare
28:41 Confutatis
31:02 Lacrymosa
45:00 Domine Jesu 48:52 Hostias 54:38 Sanctus 56:10 Benedictus 1:09:36 Agnus Dei
http://www.youtube.com/watch?v=x2XcmaiaqAY
http://fr.wikipedia.org/wiki/Requiem_de_Mozart
http://caillard-edition.com/Boutique/Scores/571/MOZART-Re...)
Texte latin et allemand : http://12koerbe.de/apokalypse/requiem.htm
Introitus
requiem aeternam dona eis Domine
et lux perpetua luceat eis
te decet hymnus Deus in Sion
et tibi reddetur votum in Jerusalem
exaudi orationem meam
ad te omnis caro veniet
und das ewige Licht leuchte ihnen!
Dir gebührt ein Loblied, Gott, auf dem Zion,
und dir erfülle man sein Gelübde in Jerusalem;
erhöre mein Gebet!
Zu dir wird alles Fleisch kommen.
Kyrie
Kyrie eleison
Christe eleison
Kyrie eleison
Herr erbarme dich,
Christus erbarme dich,
Herr erbarme dich
dies irae dies illa
solvet saeclum in favilla
teste David cum Sibylla
Tag des Zornes, jener Tag
löst die Welt(-Zeit) in Glut(-Asche) auf
gemäß dem Zeugnis Davids und der Sibylla.
quantus tremor est futurus
quando iudex est venturus
cuncta stricte discussurus
Welch ein Zittern wird dann sein,
wenn der Richter kommen wird,
der alles streng diskutieren wird!
tuba mirum spargens sonum
per sepulchra regionum
coget omnes ante thronum
Eine Posaune, erstaunlichen Klang verbreitend
über die Gräber der Weltgegenden,
wird alle vor den Thron zwingen.
mors stupebit et natura
cum resurget creatura
iudicanti responsura
Der Tod wird staunen und die Natur,
wenn die Kreatur aufersteht
um dem Richtenden Antwort zu geben.
liber scriptus proferetur
in quo totum continetur
unde mundus iudicetur
Ein geschriebenes Buch wird vorgebracht werden,
in dem alles enthalten ist,
aufgrund dessen die Welt beurteilt wird.
iudex ergo cum sedebit
quicquid latet apparebit
nil inultum remanebit
Sobald der Richter sich hinsetzen wird
wird alles, was verborgen ist, offenbar werden,
nichts wird unvergolten zurückbleiben.
quid sum miser tunc dicturus
quem patronum rogaturus
cum vix iustus sit securus
Was werde ich Armer dann sagen,
wen bitten, mein Patron zu sein,
da kaum ein Gerechter sicher sein wird?
rex tremende maiestatis
qui salvandos salvas gratis
salva me fons pietatis
König von solcher Majestät, daß wir erzittern,
der du die zu Erlösenden ohne Gegenleistung erlöst,
erlöse mich, Quell der Frömmigkeit!
recordare Iesu pie
quod sum causa tuae viae
ne me perdas illa die
Beherzige, frommer Jesus,
da ich doch Ursache deines Weges bin:
mich an jenem Tag nicht zugrunde zu richten!
quaerens me sedisti lassus
redemisti crucem passus
tantus labor non sit cassus
Mich suchend hast du dich ermüdet hingesetzt,
du hast mich freigekauft, das Kreuz erleidend,
solch eine Mühsal soll nicht vergebens sein.
iuste iudex ultionis
donum fac remissionis
ante diem rationis
Gerechter Richter der Vergeltung,
mache mir ein Geschenk der Vergebung
vor dem Abrechnungstag.
ingemisco tamquam reus
culpa rubet vultus meus
supplicanti parce Deus
Ich seufze wie ein Angeklagter,
Schuld rötet mein Gesicht,
gewähre dem Bittenden Schonung, Gott!
qui Mariam absolvisti
et latronem exaudisti
mihi quoque spem dedisti
Der du Maria entsündigt
und den Räuber erhört hast,
auch mir hast du Hoffnung gegeben.
preces meae non sunt dignae
sed tu bonus fac benigne
ne perenni cremer igne
Meine Bitten sind nicht würdig,
aber du, der Gute, erweise dich gütig,
daß ich nicht im immerwährenden Feuer brenne.
inter oves locum praesta
et ab haedis me sequestra
statuens in parte dextra
Unter den Schafen gewähre mir einen Platz
und von den Böcken scheide mich,
indem du mich auf der rechten Seite aufstellst
confutatis maledictis
flammis acribus addictis
voca me cum benedictis
Wenn die Überführten verflucht sind
und den scharfen Flammen zugesprochen,
rufe mich mit den Gesegneten
oro supplex et acclinis
cor contritum quasi cinis
gere curam mei finis
Ich bitte dich kniend und tief geneigt,
das Herz aufgerieben wie Asche,
trage Sorge für mein Ende
lacrimosa dies illa
qua resurget ex favilla
Tränenreich, jener Tag,
an dem aus der Glut(-Asche) aufersteht
iudicandus homo reus
huic ergo parce Deus
der Mensch, der als Angeklagter zu verurteilen ist:
Diesem gewähre also Schonung, Gott
pie Jesu Domine
dona eis requiem
Frommer Herr Jesus
schenke ihnen Ruhe
Amen
Recordare
quid sum miser tunc dicturus ?
Was werde ich Armer dann sagen ?
rex tremende maiestatis
König von solcher Majestät, daß wir erzittern
recordare Iesu pie
beherzige, frommer Jesus
Confutatis & Oro supplex
confutatis maledictis
flammis acribus addictis
Wenn die Überführten verflucht sind
und den scharfen Flammen zugesprochen
voca me cum benedictis
rufe mich mit den Gesegneten
oro supplex et acclinis
cor contritum quasi cinis
gere curam mei finis
Ich bitte dich kniend und tief geneigt
das Herz aufgerieben wie Asche
trage Sorge um mein Ende
Offertorium
Domine Jesu Christe
rex gloriae
libera animas omnium fidelium defunctorum
de poenis inferni
et de profundo lacu
Herr Jesus Christus,
König der Ehre,
befreie die Seelen aller gläubigen Verstorbenen
von den Strafen der Hölle
und dem abgründigen See;
libera eas de ore leonis
ne absorbeat eas tartarus
ne cadant in obscurum
befreie sie aus dem Maul des Löwen,
damit sie die Unterwelt nicht verschlinge,
damit sie nicht in die Finsternis hinabsinken
sed signifer sanctus Michael
repraesentet eas in lucem sanctam
Aber der Bannerträger, der heilige Michael,
soll sie ins heilige Licht hinein vergegenwärtigen,
quam olim Abrahae promisisti
et semini eius
wie du es einst dem Abraham versprochen hast
und seinem Samen
hostias et preces tibi Domine laudis offerimus
tu suscipe pro animabus illis
quarum hodie memoriam facimus
fac eas Domine de morte transire ad vitam
Opfer und Bitten bringen wir dir, Herr des Lobes, dar;
du nimm sie an für jene Seelen,
deren Gedächtnis wir heute pflegen:
mach, Herr, daß sie vom Tod zum Leben übergehen,
quam olim Abrahae promisisti
et semini eius
wie du es einst dem Abraham versprochen hast
und seinem Samen
sanctus sanctus sanctus
Dominus Deus Sabaoth
pleni sunt coeli et terra gloria tua
osanna in excelsis
Heilig heilig heilig
Herr, Gott der Heerscharen
Erfüllt sind Himmel und Erde von deinem Glanz
Hosianna (Hilf doch!) in den erhabenen (Himmeln)
benedictus qui venit in nomine Domini
osanna in excelsis
Gesegnet, der da kommt im Namen des Herrn
Hosianna (Hilf doch!) in den erhabenen (Himmeln)!
agnus Dei
qui tollis peccata mundi
dona eis requiem
Lamm Gottes,
das du hinwegnimmst die Sünden der Welt,
schenke ihnen Ruhe,
agnus Dei
qui tollis peccata mundi
dona eis requiem
Lamm Gottes,
das du hinwegnimmst die Sünden der Welt,
schenke ihnen Ruhe,
agnus Dei
qui tollis peccata mundi
dona eis requiem
sempiternam
Lamm Gottes,
das du hinwegnimmst die Sünden der Welt,
schenke ihnen Ruhe,
ewige!
lux aeterna luceat eis Domine
cum sanctis tuis in aeternum
quia pius es
Ewiges Licht leuchte ihnen, Herr,
mit deinen Heiligen in Ewigkeit,
denn du bist fromm!
requiem aeternam dona eis Domine
et lux perpetua luceat eis
cum sanctis tuis in aeternum
quia pius es
Ewige Ruhe schenke ihnen, Herr,
und immerwährendes Licht leuchte ihnen
mit deinen Heiligen in Ewigkeit,
denn du bist fromm!
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dimanche, 16 mars 2014
Stabat Mater
1979, La Scala, Milano
http://www.youtube.com/watch?v=moa58YWUAzk
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Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stabat_Mater#Le_texte_origin...
Une femme, un homme
http://www.youtube.com/watch?v=nEntTwMhl4A
Deux femmes
http://www.youtube.com/watch?v=9mrVZHPikqM
http://www.youtube.com/watch?v=Tt7uK4vJ9Dg
Version lente
http://www.youtube.com/watch?v=tpubRQCzXng
Chorale
http://www.youtube.com/watch?v=AogRuKseGAA
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