lundi, 10 septembre 2012
Neuvaine à saint Joseph
Saint Joseph, église Saint-Germain-des-Prés
Crédits photographiques Jana Hobeika
Glorieux saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions par le Cœur de Jésus-Christ.
Ô vous dont la puissance infinie s'étend à toutes nos nécessités et sait nous rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvrez vos yeux de Père sur les intérêts de vos enfants.
Dans l'embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance.
Daignez prendre sous votre charitable conduite cette affaire importante et difficile, cause de nos inquiétudes.
Faites que son heureuse issue tourne à la Gloire de Dieu et au bien de ses dévoués serviteurs.
Amen
00:16 Publié dans Foi, Photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neuvaine, saint, joseph
vendredi, 31 août 2012
Où traîner ses guêtres pour faire plaisir à ses yeux ?
Réponse 3 : Dans le quartier latin
Rue Bonaparte
Eglise Saint-Germain-des-Prés
Eglise Saint-Germain-des-Prés
Eglise Saint-Germain-des-Prés
Eglise Saint-Sulpice
Jardin du Luxembourg
Jardin du Luxembourg
Place du Panthéon, statue de Corneille
Boulevard Raspail
08:56 Publié dans Beaux-Arts, Sculpture, Trivialités parisiennes, Votre dévouée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : place, panthéon, paris, boulevard, raspail, jardin, luxembourg, rue, bonaparte, saint, sulpice
vendredi, 10 août 2012
Saint Jérôme et le lion - Paul Cazin, Fra Filippo Lippi
Saint Jérôme et le lion, Fra Filippo Lippi
"Le Lion de saint Jérôme" in Bestiaire des deux Testaments, 1927, Paul Cazin
Un jour que le grand saint Jérôme se promenait dans le désert de Palestine, il aperçut un lion, couché derrière un palmier.
Sa première impression fut très désagréable. Car il aimait la solitude et, s’il se promenait dans le désert, c’était apparemment pour fuir toute compagnie. Il méditait alors une diatribe contre Rufin. La vue de ce lion avait brouillé le fil de ses idées. Mais il réprima promptement son impatience, réfléchit au danger qui le menaçait et se mit à invoquer Dieu de tout son cœur.
Le lion ne bougeait pas, saint Jérôme s’approcha. Il vit que l’animal se léchait la patte d’une mine dolente; sa queue, raide comme fer, lui battait les flancs à coups secs des plaques de sang marquaient le sable.
Saint Jérôme fit le signe de la croix, mit un genou en terre, avança la main. Le lion lui tendit la patte. Il avait entre les griffes une grosse épine de cactus.
La suite : http://www.biblisem.net/narratio/cazilion.htm
14:38 Publié dans Beaux-Arts, Ecrits, Foi, Littérature, Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : saint, jerome, fra, filippo, lippi, paul, cazin
vendredi, 20 juillet 2012
La Passion selon Bach
Extrait de l'article "La Passion selon Bach, petit bréviaire"
Tiré de "Cité musiques, la revue de la Cité de la musique", n°69, avril-juin 2012
Leipzig en 1714
A gauche, l'église Saint-Thomas où fut jouée la Passion selon saint Matthieu en 1727.
A droite, l'église Saint-Nicolas où fut jouée la Passion selon saint Jean en 1724.
Ces deux églises de Leipzig pouvaient accueillir jusqu'à 3000 personnes. Elles étaient un véritable lieu de rencontre et de vie sociale.
¤ ¤ ¤
En 1723, Jean-Sébastien Bach se voit nommé Cantor de l'église réformée de Saint-Thomas de Leipzig ; il y restera jusqu'à son décès en 1750.
Pendant ces vingt-sept années, Bach compose la majorité de son répertoire religieux destiné à être produit dans le cadre des offices dont la Passion selon saint Jean BWV 245 (1724) et la Passion selon saint Matthieu BWV 244 (1727) données le vendredi saint. La tradition voulait que les deux églises Saint-Thomas et Saint-Nicolas accueillent cet office alternativement d'une année sur l'autre.
Les Passions de Bach sont des oratorios, c'est-à-dire des drames musicaux dont le sujet est religieux. Leur structure - airs, récitatifs, choeurs - est proche de celle de l'opéra, à l'exception important qu'elles ne sont pas destinées à être mises en scène. Elles sont divisées en deux parties, avant et après la prédication, à vêpres en fin de journée.
Après la mort de Bach, en 1750, les Passions ne seront exhumées qu'en 1829 grâce à Felix Mendelssohn. Une deuxième vie commence alors pour ces monuments musicaux hors du cadre liturgique : celle du concert public.
Johann Sebastian Bach (1685-1750)
09:20 Publié dans Foi, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean, sebastien, bach, passion, saint, matthieu