dimanche, 25 mai 2014
How I met my mother
¤
How I met
my mother
¤ ¤
Source : Facebook
[ Cuddled CEO ]
Les trois âges de la vie, Klimt
http://www.youtube.com/watch?v=UUv5FduE4Q4
Maman, Maman jolie
Maman tu es la plus belle du monde
Aucune autre à la ronde n'est plus jolie
Tu as pour moi, avoue que c'est étrange,
Le visage d'un ange du paradis
Dans tous mes voyages
J'ai vu des paysages
Mais rien ne vaut l'image
De tes beaux cheveux blancs
Tu es, Maman, la plus belle du monde
Et ma joie est profonde
Lorsqu'à mon bras
Maman, tu mets ton bras
Maman tu es la plus belle du monde
Car tant d'amour inonde tes jolis yeux
Pour toi, c'est vrai, je suis malgré mon âge
Le petit enfant sage des jours heureux
J'avais fait des rêves
Où l'on m'aimait sans trêve
Mais les rêves s'achèvent
Et toi seule m'est restée
Maman c'est toi la plus belle du monde
Et lorsque tout s'effondre autour de moi
Maman, toi tu es là !
www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=eZBCGVAkZLI
http://www.youtube.com/watch?v=zQJqu675Ino
http://www.youtube.com/watch?v=7RqSFiVUhDw
http://www.youtube.com/watch?v=VEp29GS1VXI
¤
And I met
my littlest
¤ ¤
¤
Mother
of all
¤ ¤
Harissa vers 1900
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Chanson, Farce et attrape, Peinture, Votre dévouée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : klimt, les trois âges de la femme, fête des mères
mercredi, 02 avril 2014
La guitare de diamants III - Truman Capote
Un matin à l'étang, Gustav Klimt
Pour la version originale, en anglais : http://capoteweb.com/a-diamond-guitar/
Extrait de La guitare de diamants, 1958, Truman Capote, Folio Gallimard :
"Raconte-moi une histoire, dit Mr. Schaeffer qui se sentait nerveux et sans force quand il ne parvenait pas à atteindre son ami. Raconte-moi la fois où tu es allé sur le champ de courses de Miami.
- Je n'ai jamais été aux courses", dit Tico Feo, admettant ainsi son plus extravagant mensonge. [...]
[...] Tandis que les autres prisonniers s'habillaient il s'assit sur le bord de sa couchette et accorda sa guitare. C'était étrange, car il devait savoir que plus jamais il n'en jouerait.
Les cris des oiseaux suivaient les hommes à travers les bois fumeux du matin. Ils marchaient en file unique, quinze par groupe, un gardien fermant la marche de chaque groupe. Mr. Schaeffer transpirait comme si le temps était chaud et n'arrivait pas à régler son pas sur celui de son ami qui le précédait, claquant des doigts et sifflant avec les oiseaux.
[...] Armstrong s'assit sur une souche, une chique de tabac lui faisant une joue de travers et son fusil pointé vers le soleil. Il avait des yeux rusés de tricheur. Vous ne pouviez jamais savoir de quel côté il regardait.
Un autre homme donna le signal. Bien que Mr. Schaeffer sût aussitôt que ce n'était pas la voix de son ami, la panique serra son cou comme une corde. A mesure que la matinée avançait il se faisait une telle rumeur dans ses oreilles qu'il doutait de pouvoir entendre le signal quand il viendrait.
[...] Une pierre coupante comme un rasoir entailla la paume de sa main alors qu'il dévalait de la rive glissante dans l'eau. Il se redressa et se mit à courir. Ses jambes étaient longues et il se maintenait presque à la même hauteur que Tico Feo. Des fusées d'eau glacée éclataient autour d'eux. Derrière et devant eux, à travers les bois, les voix des hommes retentissaient, sonnant creux comme des voix dans une caverne.
[...]
Mr. Schaeffer ne vit pas le tronc qui barrait le ruisseau. Il croyait courir encore alors que ses jambes battaient l'air autour de lui comme s'il était une tortue renversée sur le dos.
Tandis qu'il luttait ainsi, il lui sembla que le visage de son ami suspendu au-dessus du sien faisait partie du ciel blanc de l'hiver. Il était si lointain et le jugeait. Il demeura ainsi, suspendu un instant comme un oiseau-mouche, mais en cet instant il put voir que Tico Feo n'avait jamais souhait qu'il le suivît, n'avait jamais pensé qu'il le pourrait. Et il se souvint s'être dit, une fois, qu'il faudrait beaucoup de temps avant que son ami devînt un homme fait. Quand ils le trouvèrent, il était encore étendu dans une eau à hauteur de cheville, comme si c'était un après-midi d'été et qu'il flottait paresseusement dans le courant.
Depuis cela, trois hivers ont passé, et de chacun on a pu dire qu'il était le plus froid et le plus long. Deux récents mois de pluie ont creusé des ornières plus profondes dans la route argileuse conduisant à la ferme et c'est plus difficile que jamais d'y parvenir, et plus difficile encore de s'en éloigner. Deux nouveaux phares ont été ajustés aux murs et ils brûlent là, toute la nuit, comme les yeux d'une chouette géante. A part cela, il n'y a guère de changement. Mr. Schaeffer, par exemple, est toujours le même, sauf une couche de neige plus épaisse sur ses cheveux, et du fait d'une cheville brisée il boite en marchant. [...]
> A consulter également : http://echo.levillage.org/317/6151.cbb
Se procurer l'ouvrage :
Petit-déjeuner chez Tiffany
Truman Capote
1958 (1962 pour la traduction)
Folio, Gallimard
192 pages
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Ecrits, littérature contemporaine, Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : truman capote, la guitare de diamants, étang, klimt
mardi, 01 avril 2014
La guitare de diamants II - Truman Capote
Pour la version originale, en anglais : http://capoteweb.com/a-diamond-guitar/
Extrait de La guitare de diamants, 1958, Truman Capote, Folio Gallimard :
Tout le monde n'aimait pas Tico Feo. Soit qu'ils en fussent jaloux ou pour des raisons plus subtiles, certains prisonniers racontaient de laides histoires sur son compte. Tico Feo lui-même ne semblait pas s'en apercevoir. Quand les hommes s'assemblaient autour de lui, qu'il jouait de sa guitare ou chantait de ses chansons, on pouvait voir qu'il se croyait aimé. La plupart des hommes éprouvaient une sorte d'amour pour lui. Ils attendaient cette heure entre la soupe et l'extinction des lumières. Ils en dépendaient. "Tico, joue-nous de ta boîte", lui demandaient-ils. Ils ne se rendaient pas compte qu'ensuite la tristesse était plus grande que jamais. Le sommeil leur courait après comme un lapin mécanique et leurs yeux s'attardaient méditativement sur le lueur du feu qui crépitait derrière la grille du poêle. Mr. Schaeffer était le seul à comprendre leur émotion car il l'éprouvait aussi. C'était simplement que son ami avait ressuscité les rivières bruns où sautent les poissons, et les femmes avec le soleil dans leurs cheveux.
Bientôt Tico Feo obtint la faveur d'une couchette près du poêle, à côté de Mr. Schaeffer. Mr. Schaeffer savait dès le début que son ami était un terrible menteur. Ce n'était d'ailleurs pas la vérité qu'il cherchait dans les récits d'aventure de Tico Feo, dans ses succès et ses rencontres avec des gens illustres. Le plaisir qu'il y prenait était celui des histoires toutes simples, telles qu'on en peut lire dans un magazine, et cela le réchauffait d'entendre le murmure tropical de la voix de son ami, dans l'obscurité.
Sauf qu'il n'existait entre eux aucun rapport physique de fait ou d'intention, encore que de telles choses ne fussent pas ignorées à la ferme, ils se comportaient comme des amants. De toutes les saisons, le printemps est la plus épuisante, les tiges jaillissent de l'écorce terrestre durcie par l'hiver, de jeunes feuilles craquent hors des branches condamnées à périr, le vent engourdissant circule à travers la verdure neuve. Il en était de même pour Mr. Schaeffer. Une libération, l'assouplissement des muscles durcis.
On était en fin janvier. Les deux amis étaient assis sur les marches du dortoir, chacun tenant une cigarette à la main. Une lune, mince et jaune comme un morceau d'écorce de citron, s'incurvait au-dessus d'eux, et à sa clarté, des fils de gelée blanche luisaient comme des traces d'argent que laissaient les escargots. Depuis bien des jours, Tico Feo s'était retiré en lui-même, silencieux comme un voleur aux aguets dans l'obscurité. Inutile de lui demander : "Tico, joue-nous de ta boîte." Il se contentait de vous regarder avec des yeux doux et distraits.
> A consulter également : http://echo.levillage.org/317/6151.cbb
Se procurer l'ouvrage :
Petit-déjeuner chez Tiffany
Truman Capote
1958 (1962 pour la traduction)
Folio, Gallimard
192 pages
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Ecrits, littérature contemporaine, Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : truman capote, la guitare de diamants, danae, klimt
mercredi, 07 août 2013
& Elle - Supervielle, Klimt, Bouguereau
Lady with fan, Klimt
Dieu crée la femme
Pense aux plages, pense à la mer,
Au lisse du ciel, aux nuages,
A tout cela devenant chair
Et dans le meilleur de son âge,
Pense aux tendres bêtes des bois,
Pense à leur peur sur tes épaules,
Aux sources que tu ne peux voir
Et dont le murmure t'isole,
Pense à tes plus profonds soupirs,
Ils deviendront un seul désir,
A cela dont tu chéris l'image,
Tu l'aimeras bien davantage.
Ce qui était beaucoup trop loin
Pour le parfum ou le reproche,
Tu vas voir comme il se rapproche
Se faisant femme jusqu'au lien,
Ce dont rêvaient tes yeux, ta bouche,
Tu vas voir comme tu le touches.
Elle aura des mains comme toi
Et pourtant combien différentes,
Elle aura des yeux comme toi
Et pourtant rien ne leur ressemble.
Elle ne te sera jamais
Complètement familière,
Tu voudras la renouveler
De mille confuses manières.
Voilà, tu peux te retourner
C'est la femme que je te donne
Mais c'est à toi de la nommer,
Elle approche de ta personne.
Idylle, Bouguereau
http://couples-et-duos.blogspot.fr/2011/11/couples-et-duos-chez-william-bouguereau.html
Jules Supervielle (1884-1960)
> Pour des textes de Jules Supervielle :
http://www.paperblog.fr/dossier/poetes/jules-supervielle/
> Pour une courte biographie :
http://www.babelio.com/auteur/Jules-Supervielle/5215
> Encore à propos de l'auteur :
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/supervielle...
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Ecrits, Peinture, Poësie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : supervielle, klimt, bouguereau
mardi, 06 août 2013
Jeunehomme - concerto N°9 - Mozart
Remerciements à Adrien VdMtx
pour m'avoir incitée à écouter ce concerto.
¤ ¤ ¤
Idylle, Klimt
Enregistrement de 1949
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...
Orchestre de Salzburg en 1994
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...
Avec la partition
http://www.youtube.com/watch?v=HXIZUz5mD18&feature=pl...
¤ ¤ ¤
=> Transcription pour piano de l'Andantino :
source http://imslp.org/wiki/Main_Page
IMSLP35238-PMLP79206-Mozart_Busoni_BVB84_Andantino_Concer...
07:00 Publié dans Beaux-Arts, Musique, Partitions, Peinture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mozart, klimt, concerto, jeune homme
lundi, 03 décembre 2012
Gustav - Le salut de l'homme passe par l'art
"Le salut de l'homme passe par l'art."
Documentaire Arte : Mystérieusement Klimt (2012, durée 25 minutes)
Il vivait avec ses deux sœurs et sa mère, il n'a jamais eu d'appartement à lui.
Son père est orfèvre ciseleur, sa mère est enfant des faubourgs viennois. Il est le deuxième d'une fratrie de 7. Il né le 14 juillet 1862 dans un logement modeste de la Linserstrasse à Baumgarten près de Vienne. La famille Klimt déménage souvent. Quand le père a du travail, on habite de petits appartements. Quand il perd son emploi, on doit s'installer dans des baraquements mal famés de la banlieue, et vivre parmi les immigrés, les journaliers et les chômeurs.
A 14 ans, Gustav Klimt a terminé le collège et grâce à une petite bourse, il entre à l'école des arts décoratifs de Vienne où il reçoit une solide formation en dessin et en peinture décorative. Il est excellent élève et savait dessiner avec une précision photographique.
Devenu célèbre en 1897.
Très tôt, il s'est associé avec son frère Ernst et Franz Match, pour créer un atelier de décoration. Ils avaient respectivement 15, 16 et 18 ans. Et ils ont eu du travail. En 1886, Klimt n'a que 23 ans quand ses associés et lui décrochent un gros contrat pour peindre les plafonds du Burg Theater. Ce contrat, ils l'obtiennent par un concours de circonstances. Hans Makart meurt de façon inattendue et les autres grands noms de la profession travaillent sur d'autres édifices du Ring. C'est ainsi qu'on fait appel aux frères Klimt et à leur associé Franz Match pour peindre dix plafonds dans les escaliers du Burg Theater. La rétribution est fixée à la somme exorbitante de 10 000 florins.
Puis ils enchaînent avec un autre chantier, et on peut voir que Klimt prend une autre direction que son frère et Franz Match, c'est le premier pas vers la "sécession".
Au musée des beaux arts de Vienne, Gustav Klimt réalise 13 fresques entre les colonnes et au-dessus des arcs de l'escalier d'honneur. Ses peintures se trouvent à environ 12 mètres du visiteur, une distance trop grande pour percevoir la patte de l'artiste. Il faut y regarder de plus près pour pouvoir comparer son travail avec celui de son frère Ernst et de son condisciple Franz Match, et constater avec quel brio il a surmonté cette tâche extrêmement ardue. Ces motifs de l'Egypte ancienne et de l'antiquité gréco-romaine préfigurent l'œuvre révolutionnaire qu'il accomplira en tant que représentant de l'art nouveau viennois.
1892. Œuvre méconnue du public. Deux billets de 10 et 50 florins dessinés par Gustav Klimt. Et un billet de 5 florins conçu par Franz Match. Ces esquisses ont été soumises à l'appréciation du directoire de la banque et malheureusement elles n'ont pas reçu un très bon accueil. On estimait que ça ne correspondait pas exactement à ce qu'on recherchait. Dessins remisés au placard au motif qu'ils étaient trop simples et pas assez attrayants dans leur conception pour pouvoir être retenus. Bien sûr, ça n'a pas plu du tout à nos deux artistes et d'après un document interne du directoire, Gustav Klimt se serait plaint auprès de l'imprimerie et aurait su se faire entendre. Mais au final, la banque nationale d'Autriche a déclaré qu'elle lui avait déjà payé les 600 florins promis.
Un siècle plus tard, on ébauche des billets de 500 florins à son effigie. Ce projet non plus ne verra jamais le jour.
A la mort de son frère, il cessera de créer pendant plusieurs années, en dépression.
Il n'aime pas voyager mais se rend avec Alma à Venise. Elle épousera plus tard Gustav Mahler. Il ne voyage pas seul mais avec son beau-frère Carl Mohl et un grand cercle d'amis. A Venise, il tombe amoureux d'Alma Schindler. Elle lui donne son premier baiser puis lui remet une photo qu'il affectionne particulièrement. Toutefois les choses se corsent quand Carl Mohl apprend qu'ils se sont embrassés. Voilà que sa belle-fille entame une liaison avec un artiste plus âgé qu'elle. 1899. S'il s'éprend d'Alma, il entretient toujours une relation avec sa belle-sœur, Hermine Klimt. Parallèlement, il tombe amoureux d'Emilie Flöge. En outre, deux mois plus tard, son fils Gustav Hoshitski vient au monde et deux mois après son fils Gustav Zimmerman. Gustav Klimt se trouve donc dans une situation très compliquée. Son aventure avec Alma Schindler s'achève à Venise.
En entrant dans la basilique Saint-Marc, il voit une profusion d'or. C'est seulement après, en poursuivant sa visite, qu'il découvre les somptueuses mosaïques. Cette expérience le marque tellement qu'il décide d'utiliser l'or dans ses peintures. Pas forcément en couche supérieure.
Erotisme franc, sexualité féminine explicite, ses dessins sont perçus indécents. Taxé de pornographie mais lui ne voyait pas les choses ainsi. A ses yeux, l'Eros s'inscrivait dans la grande thématique de la vie. Pour lui, ses dessins qui étaient en général ouvertement érotiques, comportaient toujours une dimension sacrée. Il voyait dans cet érotisme, le mystère de la vie. L'Eros comme mystère de la vie. Bien sûr, beaucoup de dessins étaient très explicites, très sensuels. Il a d'ailleurs été traité de pornographe, ce qui l'a profondément affecté.
En tant qu'artiste, Gustav Klimt était un personnage exposé, et beaucoup auraient aimé l'épier à travers le trou de la serrure. On sait peu de choses sur ce qui se passait derrière la porte de son atelier. Il travaillait 8, 9 heures par jour et il aimait fredonner des lieder de Schubert, tel que der Lindenbaum, le tilleul.
Certains de ses amis rapportent qu'il entrait dans une colère noire lorsque des visiteurs arrivaient à l'improviste. Et après avoir fait l'objet de scandales retentissants, il aurait accroché une pancarte sur la porte de son atelier avec cette inscription : "Inutile de frapper, on ne vous ouvrira pas."
Personne ne l'a jamais vu en train de dessiner. C'était pour lui ce qu'il y avait de plus intime. Certains contemporains racontent qu'il était entouré de modèles en admiration devant lui. Mais ce ne sont que des fantasmes. En fait, il était très discipliné dans son travail.
Réaliser ce genre de dessins dans son atelier est une chose. Le montrer en est une autre. Et on peut se demander qui l'a vraiment vu à l'époque. Sans doute seulement un petit cercle d'intimes. En revanche, la peinture, qui représente le même modèle, a bel et bien été exposé, ce qui n'a pas manqué de bousculer les conventions et les valeurs morales d'alors, et de soulever de vives polémiques. Peut-on montrer une telle œuvre au grand public ?
Il y a eu des restrictions aux expositions de son vivant : interdit aux femmes de moins de 18 ans.
"La parole ne m'est pas familière, surtout quand je dois m'exprimer sur moi-même ou sur mon travail". S'exprimait dans le dialecte viennois. Peu expansif.
Il n'aimait pas voyager. Quand il voyageait, il envoyait des cartes postales à Emilie Flöge, jusqu'à huit par jour.
Elle tenait une maison de couture avec ses sœurs à Vienne. Financièrement autonome.
Il passait ses étés chez les Flöge, loin de Vienne.
1918, attaque cérébrale qui entraîne une paralysie partielle, installé un temps au sanatorium puis à l'hôpital général où il souffre d'escarres et on lui rase sa barba légendaire. Meurt le 6 février 1918 d'une pneumonie développée avec la grippe espagnole.
Masque mortuaire.
"Le salut de l'homme passe par l'art."
08:00 Publié dans Beaux-Arts, Documentaires, Les mots des films, Peinture, Portraits de personnalités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gustav, gustave, klimt, emilie, floge, ernst, franz, match