Frédéric D #6 - Etymologie chef d'oeuvre

Frédéric Dard, chez lui à Genève, en 1973

 

Manuscrit précédant "Les salauds vont en enfer" (1956), "Délivrez-nous du mal" (1962) et "L'homme de l'avenue" (1963), Les Chefs d’œuvre de la littérature d'action, Editions Fleuve noir, 1969 :

 

 

[...] Je peux prendre le terme de chef d’œuvre dans son acception première, celle qui évoque une certaine époque de l'artisanat, car il me semble qu'aujourd'hui l'artiste (et en particulier le romancier) est le seul véritable artisan existant encore. Avec une foi sans cesse renouvelée, il espère son chef d’œuvre dans chacune de ses entreprises. [...]

 

 

Se procurer l'ouvrage :

Les chefs d’œuvre de la littérature d'action

Les salauds vont en enfer (1956)

Frédéric Dard

1969

Editions Fleuve noir

412 pages

http://www.amazon.fr/chefs-doeuvre-litterature-daction-sa...

 

 

A consulter également :

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2014/02/18/san-anto...

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2014/02/19/frederic...

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http://fichtre.hautetfort.com/archive/2015/01/05/les-salauds-vont-en-enfer.html

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2014/03/07/dari-val...

 

Etymologie - Spa

 

Source : Direct Matin, lundi 16 mars 2015

 

Marseille vintage

 

 

Source et pour davantage : http://www.emmanuelgill.com/cartes-postales-2/cartes-post...

 

 

Paris vintage

 

 

Source et pour davantage : http://www.emmanuelgill.com/cartes-postales-2/cartes-post...

 

 

Etymologie - ?

 

Source : DIRECT MATIN vendredi 16 décembre 2014

 

La conf call pour les nuls

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=DYu_bGbZiiQ

 

 

 

Isabelle Adjani, Anne Sinclair et Valérie Trierweiler

 

 
 
Sources photo
http://www.listal.com/viewimage/445273
http://www.elle.com/life-love/society-career/france-first-lady-valerie-trierweiler
http://geeko.lesoir.be/2012/01/23/le-huffington-post-se-veut-serieux-mais-divertissant/
http://teemix.aufeminin.com/stars/isabelle-adjani/album974469/isabelle-adjani-album-du-fan-club-23360669.html

 

Extrait de "Adjani sans tabous", entretien par Jérôme Béglé et Violaine de Montclos , Le Point, n°2203, jeudi 4 décembre 2014 :

[...]

Vous avez refusé d'incarner Anne Sinclair dans "Welcome to New York", vous en a-t-elle remerciée ?

Non, mais je crois savoir, par relation interposée, qu'elle y a été sensible. Je pense que même un artiste ne peut pas s'autoriser n'importe quel type de fiction quand les gens concernés ont leur vie à vivre et sont déjà persécutés. Or je craignais que le film n'évolue vers quelque chose de misogyne, je n'y avais plus ma place. Et puis, il y a eu une espèce d'identification du metteur en scène au personnage, j'ai eu l'impression que Ferrara était fasciné, fou amoureux de Depardieu, c'est ce que j'ai dit à Gérard : je ne veux pas vous servir d'accompagnatrice, tenir la chandelle le soir quand vous irez boire des coups et vous taper sur les cuisses.

Vous avez souvent manifesté votre empathie pour ce que vous appelez le "malheur féminin". Que vous inspire le cas Valérie Trierweiler ?

Elle est sûrement de mauvaise foi quand elle dit qu'elle n'a pas cherché la vengeance, mais c'est une mauvaise foi tellement romanesque que moi je suis aux anges. Pourquoi la condamner ? Il y a quelque chose de barré dans sa démarche qui me plaît, et qui me plaît d'autant plus qu'elle déplaît aux autres. Tous ces gens qui prennent l'air affligé, indigné en évoquant son livre, "quel mal elle fait à la France", ça me fait tellement rire ! La France, elle est dans un tel état en ce moment, qu'est-ce que ça peut foutre que cette dame fasse un peu plus de dégâts ? Cette attitude de mépris, de condescendance à son égard, c'est si facile, comme s'il ne s'agissait que de la promotion narcissique d'une pauvre femme vulnérable... Mais enfin, c'est une femme de tête ! Elle n'a pas été seulement spectatrice du chemin parcouru par François Hollande vers la présidentielle, elle l'a aussi en partie construit avec lui... Alors, cette revanche, moi j'oserais dire que c'est plutôt une avancée pour les femmes. Cela n'empêche pas mon admiration et mon amitié pour Julie Gayet.

[...]