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dimanche, 30 juin 2013

Prenez et mangez - Titien

titien, mise au tombeau, christ
Mise au tombeau, Titien

 

Prenez et mangez, ceci est mon corps,
Prenez et buvez, voici mon sang !
Ouvrez vos coeurs !
Vous ne serez plus jamais seuls :
Je vous donne ma vie.

 

Demeurez en moi, comme je demeure en vous,
Qui demeure en mon amour, celui-là portera du fruit.
Comme Dieu, mon Père, ainsi je vous ai aimés,
Gardez mes paroles, vous recevrez ma joie.

 

Je vous ai choisis pour que vous portiez du fruit.
Gardez mon commandement et vous demeurerez en moi.
Comme je vous aime, aimez-vous d'un seul Esprit.
Je vous donne ma vie  : vous êtes mes amis !

 

Je vous enverrai l'Esprit-Saint le Paraclet.
Il vous conduira au Père et fera de vous des témoins.
Cherchez, vous trouverez, demandez, vous obtiendrez,
Afin que le Père soit glorifié en vous !

 

samedi, 29 juin 2013

Concerto de Bach pour deux violons - ré mineur - interprétation baroque

bach, concerto, violon, baroque
Toile de jouy

 

Vivace, 41'578 vues

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=N01nBgRRwlA

 

bach, concerto, violon, baroque

 

Largo ma non tanto, 9'473 vues

http://www.youtube.com/watch?v=SkEIiYCc9vI&feature=pl...

 

bach, concerto, violon, baroque

 

Allegro, 11'060 vues

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...

 

Revenir à Menuhin et Oistrakh :

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2013/02/27/concerto...

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2013/02/27/concerto...

http://fichtre.hautetfort.com/archive/2013/02/27/concerto...

07:00 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bach, concerto, violon, baroque

vendredi, 28 juin 2013

Sweet child o' mine - Guns n' Roses

 

hermann schurig, royal monceau
Fumoir du Royal Monceau
Crédits photographiques Hermann Schurig

 

 

She's got a smile that it seems to me
Reminds me of childhood memories
When everything was as fresh as a bright blue sky

Now and then when I see her face
She takes me away to that special place
And if I'd stare too long I'd probably break down and cry

She's got eyes of the bluest sky
And if they thought of rain
I'd hate to look into those eyes
And see an ounce of pain

Her hair reminds me of a warm safe place
Where as a child I'd hide
And pray for the thunder and the rain
To quietly pass me by

 

 

 
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...

 

jeudi, 27 juin 2013

Sous le ciel, violon - Munch, Piaf, Bach, Mendelssohn, Fischer, Mutter

Sous le ciel, violon

 

le cri, munch, edvard munchLe cri, Edvard Munch
http://www.laboiteverte.fr/les-5-versions-de-le-cri-dedva...

 

Le ciel - gris - sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler,
Peu m'importe, si tu m'aimes
Je me fous du monde entier.
Tant que l'amour inondera mes matins,
Tant que mon corps frémira sous tes mains,
Dans le ciel, plus de problèmes,
Dieu réunit ceux qui s'aiment.

Les paroles de Piaf ainsi qu'une vidéo
http://www.parolesmania.com/paroles_edith_piaf_2574/parol... 

 

Munch, Piaf, Bach, Mendelssohn, Fischer, Mutter
Nu parisien, Edvard Munch

 

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hymne_%C3%A0_l'amour

Piaf l’a écrite en hommage au boxeur Marcel Cerdan qu’elle aimait. Elle l’interprète pour la première fois le 14 septembre 1949 au Versailles, un cabaret de New York. Le 28 octobre, Cerdan disparaît dans un accident d’avion. Piaf enregistre la chanson (qu’on croit souvent écrite après la mort de Cerdan, pour cette raison) le 2 mai 1950.

La musique est de Marguerite Monnot.

 

 


http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...

 

 
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...

 


http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...

 

> Revenir à Menuhin : 
http://fichtre.hautetfort.com/archive/2013/02/27/concerto...

 

mercredi, 26 juin 2013

Opération Condor - Jackie Chan, Jackie Chan

 

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Film : Opération Condor (1991, durée 1h40)

Réalisateur : Jackie Chan

Jackie (Jackie Chan), Ada (Carol Cheng), Elsa (Eva Cobo de Garcia), Momoko (Shôko Ikeda), Adolf (Aldo Sambrell), les gardes  (Ken Goodman, Steve Tartalia, Lyn Percival) 

 

jackie, chan, operation, condor

 

Adolf : La petite balade en Amazonie s'est bien passée ?

Jackie : Les Indiens sont un peu trop accueillants parfois.

Adolf : Je suis très heureux de te revoir, Jackie, très heureux. Allons prendre une tasse de thé au salon.

Jackie : Alors j'ai fait tous ces kilomètres pour seulement une tasse de thé au salon ? J'espère qu'il y a des petits gâteaux.

Adolf : Mais oui, il y en aura ! Que sais-tu exactement à propos de la Seconde Guerre Mondiale ?

Jackie : Suffisamment pour ne pas en désirer une troisième.

Adolf : Toute cette histoire commence un peu avant la fin de la guerre. Les troupes allemandes qui étaient en Afrique reçurent l'ordre de rentrer en Europe. C'est alors qu'un petit détachement d'hommes fut chargé de cacher toutes leurs réserves d'or, or ayant bien sûr été volé aux pays occupés. Ils avaient une cité souterraine, une base expérimentale située en plein désert africain dont on a la position approximative. L'officier chargé de cette mission, le colonel Von Katran, d'après ce qu'on sait, se serait suicidé. Son lieutenant et les soldats de l'opération ont disparu après le transfert.

Jackie : Qu'est-ce que j'ai à voir là-dedans, moi ?

Adolf : A-haaa, les Nations Unies m'ont contacté afin de retrouver cet or. Evidemment, comme tous ces lingots proviennent de tous les pays d'Europe, ça intéresse beaucoup de monde. Et pour avoir ce trésor fabuleux, ils seraient sûrement prêts à se battre, ce que nous voulons éviter à tout prix. Alors, j'ai pensé qu'en employant de façon officieuse un aventurier, ce serait moins gênant. Et c'est pourquoi j'ai songé à toi, voilà. Ah, laisse-moi te présenter le colonnel Bartok, notre ami le condor.

Jackie : Enchanté.

Le condor : Moi de même.

Adolf : Commandant Bernard.

Jackie : Enchanté.

Le commandant Bernard : Heureux de faire votre connaissance.

Adolf : Et voici Ada.

Ada : Enchantée.

Adolf : Ada est une collaboratrice du président des Etats-Unis. C'est une experte pour tout ce qui concerne l'Afrique. Elle va t'accompagner et te servira de guide pour toute cette opération.

Jackie : Elle fera partie de ma mission ?

Ada : Douteriez-vous de mes capacités, mon cher ?

Adolf : Ah non, ah non, pas du tout. Je m'attends toujours au pire, donc je ne peux être que surpris.

Ada : Il ne faut jamais attendre les choses mais plutôt les prévoir. Si vous avez un plan précis, alors vous n'avez pas ...

Jackie : Je ne serai pas du tout angoissé puisque je vous ai. Elle est charmante.

Adolf : Je pense que vous allez bien vous entendre à la longue. 

 

jackie, chan, operation, condor

 

Adolf : Puisque tu t'attendais au pire, comment la trouves-tu finalement ?

Jackie : Très très bien. 

 

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Ada : Que savez-vous sur le Sahara ?

Jackie : Benh y'a du sable, mais enfin, à part ça, je...

Ada : Faux ! Seulement 25% du Sahara sont couverts de sable. La température dans le désert peut atteindre 60 degrés au zénith, par contre la nuit, elle descend au-dessous de zéro. Perdu dans le désert, on peut survivre sept jours sans nourriture mais on y meurt au bout de deux jours si on n'a pas d'eau. Vous m'écoutez, jeune homme ?

Jackie : Beaucoup.

[...]

Jackie : Merci pour cette leçon d'histoire, enfin de... de géographie.

Ada : Attendez ! Revenez ! Je n'ai pas fini. Pour les réserves d'eau, qu'est-ce qu'on fait ?

 

jackie, chan, operation, condor

 

Méchant 1 : On avait dit pas de violence, hein !

Méchant 2 : Mais tais-touah ! Qu'il me réponde, après j'aviserai. Je ne reculerai devant rien pour les faire parler, tu comprends ?

Méchant 1 : En agissant comme ça, tu lui fais peur et on passe pour des méchants terroristes.

Méchant 2 : Mais tais-touaaaah ! Ca fait pas sérieux de s'engueuler devant eux. Bon, tu vas m'dire où il est ? Tu vas parler ou je tue ton fiancé, tu as compris ?

Elsa : Mais c'est pas mon fiancé.

Jackie : J'aimerais bien mais c'est vrai, je passais par là par hasard. Vos histoires, ça me regarde pas, bye-bye.

Méchant 2 : Tu bouges pas toi, hé ! Pourquoi tu es là d'abord ?

Jackie : C'était marqué "à vendre" sur la pancarte, benh moi j'ai voulu jeter un coup d'oeil. J'ai vu de la lumière en haut, je suis monté pour voir, et je tombe sur quoi ? Mademoiselle toute nue, alors j'ai regardé !

Elsa : Oh !

Jackie : Très jolie. Vous voulez voir ?

 

Il arrache la serviette de bain d'Elsa. 

  

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mardi, 25 juin 2013

Considérations sur la mémoire - Jacqueline de Romilly

jaqueline de romilly,le trésor des savoirs oubliés
 Jacqueline de Romilly (1913-2010)

 

Extraits de Le Trésor des savoirs oubliés, Jacqueline de Romilly, de l'Académie française, 1998, Ed. de Fallois

[...]

A mon âge, je n'écrirai plus beaucoup de livres, mais je puis du moins profiter des trésors de la mémoire, et me laisser guider par elle, à l'aventure. Il m'arrive, depuis que je n'y vois plus, de rester de longs moments immobile, à laisser remonter en moi des souvenirs de toute espèce. Les uns sont personnels, souvenirs de voyages, d'amitiés, de rencontres. D'autres viennent de lectures et parfois je ne sais plus très bien faire le départ entre les gens que j'ai rencontrés dans la vie et ceux que j'ai rencontrés dans les romains. Cela multiplie le nombre des présences qui me font signe. Et, quelle que soit la nature de ces retrouvailles, elles me paraissent douces et émouvantes. Ce sont aussi, à l'occasion, des souvenirs acquis, des faits historiques qui tout à coup me reviennent sans que je sache pourquoi, parfois sous forme de petites rengaines, lointaines et amicales, parfois sous la forme d'imagnes fugitives mais resplendissantes. Il peut y avoir des souvenirs de peintures, ou de représentations dramatiques, tout ce qui m'a un jour traversée et étonnée. Dans ces moments de loisirs, et au terme d'une vie, on se rend très bien compte que ces souvenirs nous reviennent d'eux-mêmes, du fon de l'oublie. Peut-être nous reviennent-ils faussés, modifiés par l'imagination, et dans un grand désordre. Mais ce désordre même possède un charme particulier - comme si le temps soudain cessait de séparer les choses en catégories distinctes et vous les donnait, pour une fois, toutes ensemble. Cela s'appelle sans doute rêver. Mais il ne me déplaît pas qu'après toutes ces petites enquêtes reflétant ma vie professionnelle, avec ce désir qui fut mien de communiquer des connaissances, de les rendre précises, de les rendre suggestives et d'aider les autres à gagner cette clarté d'esprit qui m'a toujours paru si précieuse, je rencontre enfin, au terme du voyage, la rêverie.

[...]

Il est sans doute quelque peu étrange qu'une personne qui n'y voit plus se plaise à des considérations sur ce qui nous permet d'apprendre à voir. Mais ce n'est pas si absurde qu'il y paraît. Depuis que je n'y vois plus, je découvre encore chaque jour les beautés du monde, ses étrangetés, ses laideurs, sa présence - parce que la littérature ne cesse de me les apporter.

 

> A consulter également : http://www.magazine-litteraire.com/content/rss/article?id=18057

 

Jaqueline de Romilly, le Trésor des savoirs oubliésSe procurer l'ouvrage :

Le Trésor des savoirs oubliés

Jacqueline de Romilly

1998

De Fallois

220 pages

http://www.amazon.fr/tresor-savoirs-oublies-ROMILLY-JACQUELINE/dp/B003UAJPFS/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1350568331&sr=1-2

 

En poche : http://www.amazon.fr/tr%C3%A9sor-savoirs-oubli%C3%A9s-J-R...

 

 

lundi, 24 juin 2013

Femmes d'hier pour aujourd'hui - Jean-Claude Kaufmann, Maria Hérédia-De Régnier

 

Extrait de La femme seule et le prince charmant, Jean-Claude Kaufmann, 2009, Pocket : 

pp. 39-41

[...]

Alors que le mode de vie conjugal des bourgeois s'impose comme référence dans presque tous les milieux sociaux, l'essor du travail féminin empêche qu'il puisse être généralisé : les pionnières de l'autonomie sont implicitement porteuses d'un contre-modèle. Souvent malgré elles, car ce ferment subversif ne facilite pas la vie quotidienne. Leur position particulière attire en effet les regards : elles dérangent, et sont suspectées de déviance, la stigmatisation étant la seule façon de dissiper le trouble des gens installés dans les normes du moment.

"Etaient-elles bien des femmes, celles qui sortaient du pré carré de leur sexe ?" (Perrot, 1995, p.45). Tantôt une supposée disgrâce intime, une présumée sécheresse intérieure, sont utilisées pour (dé)classer l'infortunée dans une catégorie disponible : "vieille fille". Tantôt la critique est inverse : la femme trop libre ne saurait être qu'une femme légère. D'ailleurs, le même terme de "femme isolée" désigne à la fois l'ouvrière vivant seule et la prostituée clandestine (Scott, 1990). Soupçon insupportable en cette époque de rigueur morale. D'autant qu'il faut aussi lutter contre soi : cette vie plus légère, plus sensuelle, est effectivement à portée de la main, en un moment où, sous le puritanisme de surface, les corps découvrent en secret de nouveaux désirs (Corbin, 1987).

La célibataire fortement investie dans son métier, telle l'institutrice, compose donc pour se défendre un personnage caractéristique : chignon serré et gorge strictement toilée. Tout en refusant l'autre stéréotype, elle impose son aisance, sa liberté de ton et surtout son élégance (dentelles fines, discrètes et autres renards argentés), qui la distinguent de la vieille fille rabougrie, acariâtre, qui "sent le rance" (Perrot, 1984, p.300). Entre les deux catégories proposées, qu'elle refuse, elle s'affirme comme quelqu'un d'autre, une figure sociale encore mal identifiée, en voie de définition.

 

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Marie de Heredia-de Régnier (1875-1963)
poëtesse fille du poëte José-Maria de Hérédia (1842-1905)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_de_Heredia

 

La vendeuse de grand magasin, davantage hésitante entre métier et mariage (à la différence de l'institutrice, son célibat est généralement provisoire), choisit une option un peu différente. Ce qui lui fait le plus peur étant d'être taxée de vieille fille, son élégance est plus colorée, plus parfumée, plus charmeuse, au risque de tomber dans l'autre stéréotype. Pourtant, elle parvient souvent à maintenir l'équilibre, et rejoint la figure de la femme autonome (ni vieille fille ni femme légère) qui tend à s'installer dans le paysage social.

 

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Marie de Heredia-de Régnier (1875-1963)

 

Bien sûr, il y eut aussi de vraies "vieilles filles" et de vraies femmes galantes. Mais relativement peu nombreuses, ces catégories extrêmes étant abusivement grossies dans les mentalités par effet d'amalgame. Les femmes savantes par exemple furent systématiquement moquées et suspectées de sécheresse de coeur, taxées de "vieilles filles". Alors qu'elles étaient souvent des aventurières à leur manière, engagées corps et âme dans une trajectoire très personnelle (Flahault, 1996). Quant aux femmes légères, un abîme sépare la prostitution de la liberté de moeurs.

 

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Marie de Heredia-de Régnier (1875-1963)

 

Prenez les grisettes, ces jeunes couturières du Quartier latin dont le mode de vie fut violemment rejeté par la morale. Elles vivaient insouciantes, pour la coquetterie, la gaieté et l'amour, emportées par les manières nouvelles apprises auprès des bourgeoises, enfiévrées par l'art des étudiants de leur faire la cour sur un mode romanesque (Guillais-Maury, 1984). Comment après cela se résoudre au mariage avec des hommes de leur milieu, à sombrer dans l'univers noir qui était celui du monde ouvrier au XIXe siècle ? Elles préférèrent les sonnets, les mots doux et les caresses, quitte à se perdre d'une autre manière, dans une vieillesse de solitude et de misère (passé le temps de la jeunesse en effet, les Princes charmants abandonnaient leurs amoureuses d'opérette pour se marier). Alors, femmes légères les grisettes ? Certes. Mais aussi d'une certaine façon femmes autonomes, refusant de se résigner à une vie sans éclat et sans élan, imaginant leur histoire selon leurs rêves le temps d'un printemps, inventant des formes conjugales devenues aujourd'hui légitimes.

 

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Marie de Heredia-de Régnier (1875-1963)

 

La grisette cherchait un nouveau code amoureux. Désespérément : le XIXe siècle n'a pas les moyens de ses idées révolutionnaires. L'époque est au contraire au durcissement de la norme matrimoniale. Les utopies qui fleurissent sont à contre-courant, condamnées à rester dans les livres ou à se limiter à quelques expérimentations marginales. Pourtant quelles audaces dans les pensées ! Le couple marié comme fondement de la société est le premier visé par les plus radicaux. Dans Le Nouveau Monde amoureux, Charles Fourier se fait le chantre d'une libération des désirs et d'une sexualité vagabonde, qu'il souhait voir s'épanouir dans ses phalanstères. [...]

  

 

femme seule, prince charmant Jean-Claude KaufmannSe procurer l'ouvrage :

La femme seule et le prince charmant

Jean-Claude Kaufmann

2009

Pocket

350 pages

http://www.amazon.fr/La-femme-seule-prince-charmant/dp/2266173979/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1368710805&sr=8-1&keywords=la+femme+seule+et+le+prince+charmant