samedi, 20 juin 2015
Etymologie - Mettre la pâtée
06:57 Publié dans Les mots français | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 19 juin 2015
Journée mondiale du naturisme
Deux minutes de nu !
La météo de Doria du 19/06 / 2014
http://www.canalplus.fr/c-divertissement/c-le-grand-journ...
Doria : On est le 19 juin et comme vous le savez sûrement, c'est la journée mondiale du naturisme. Donc je m'suis dit que ce serait amusant de marquer l'événement en faisant une météo toute nue. Donc fermez les yeux et ouvrez les oreilles. Alors déjà, bienvenue, le numéro qui s'affiche en bas compte les "nus". Vous serez donc prévenus dès qu'un nu sera survenu. OK ? Alors, compte tenu de la déconvenue, certains diront que la promesse n'est pas tenue. Moi, j'm'en fous, j'continue car un numéro d'une minute, même nul, n'est jamais malvenu. Atchoum ! Pardon, j'éternue. Oui, le contenu est sinueux et ça prend une tournure saugrenue, mais j'suis déjà parvenue à 20 "nus". 21. J'ai donc un rythme soutenu et, croyez-moi, je suis en retenue. Y'a que vous que cette énumération exténue. Et peut-être la personne qui fait le décompte aussi. Alors moi je ne suis en aucun cas guettée par une pénurie de nus et, comme convenu, pas un mot méconnu au menu. Alors inutile de dire que je suis devenue obnubilée par tous ces nus qui s'insinuent dans mon cerveau d'ingénue, un peu nunuche - c'est deux points obtenus. Et, sans nuire à mon score monumental - 41, j'tombe des nus -, et je vais y remonter justement pour observer les nuages minutieusement. Alors en matinée, ça manque de nuance, ils seront retenus au nord. 13 à Nubécourt, 14 au Ménul et 15 à Tournus.
Jean-Michel Apathie : Non, on dit Tournus, Doria.
Doria : Ouais, mais c'est pas grave, c'est comme l'anus, on peut dire "anu".
Jean-Michel Apathie : C'est vous la spécialiste, Doria.
Doria : Alors l'après-midi, la pluie s'est abstenue. On relèvera 25 à Nuart, 24 à Cornu et 28 à Poil où j'ai déjà couru toute nue suite à une déconvenue. Mais je m'arrête là, car passé les 57 nus, ma cadence diminue.
Et le compte est bon.
07:00 Publié dans Farce et attrape, Trivialités parisiennes | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 18 juin 2015
Blagounettes techno
07:00 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 17 juin 2015
Florilège techno - mdp, santé et vieillesse
07:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 16 juin 2015
Avis aux critiques
Demander aux artistes ce qu'ils ressentent à propos des critiques,
c'est comme demander aux lampadaires ce qu'ils pensent des chiens.
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> Pour davantage de citations : http://motivationgrid.com/amazing-paulo-coelho-quotes-change-life/
07:05 Publié dans Citation, Ecrits | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 15 juin 2015
Blagounettes langagières - et spécial hommes / femmes
07:10 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 14 juin 2015
En terre
http://savoieinparis.free.fr/info/monuments/pere-lachaise/index.htm
5ème dimanche de Pâques, semaine du 3 au 9 mai 2015, bulletin paroissial n°36 :
> http://1kzx.mj.am/nl/1kzx/1xuw9.html
"Incinération ?", Père Etienne Masquelier, paroisse Notre-Dame de Grâce de Passy
« Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe un bouquet de houx vert et de bruyères en fleur ». Victor Hugo termine ainsi le poème Demain, dès l’aube pour sa fille Léopoldine, disparue à 19 ans.
Les indiens brûlent les corps des défunts en parfaite cohérence avec leur vision du monde puisque, selon eux, avec la mort, l’individu se dissout dans le grand tout, dans un bonheur impersonnel. La foi chrétienne, quant à elle, s’appuie sur la personne de Jésus ressuscité qui promet à chacun la résurrection intégrale, jusqu’en son corps singulier. Reconnaissons aux bûchers du Gange un enracinement religieux et philosophique et une certaine beauté. Mais l’incinération, quant à elle, est un processus industriel sinistre, rapide et violent. Les os sont souvent, ou toujours, broyés car ils ne peuvent se consumer facilement.
L’occident chrétien avait la pratique de veiller les morts, d’embaumer le défunt, chez lui, sur son lit. On le veillait quelques jours, le temps que la famille se réunisse. La transition était plus douce, l’espérance mieux accompagnée. Au contraire, nos contemporains préfèrent camoufler la mort et oublier cet adversaire devenu terrible, car synonyme de néant complet. La pratique de l’incinération est tolérée par l’Eglise si elle n’est pas un manifeste contre la foi chrétienne, mais n’est-elle pas, implicitement, un acte en soi contre la foi ? Certes, le corps pourrira avant de ressusciter au dernier jour. Mais, même mort, il possède ses lois données par Dieu et se décomposera lentement, sur plusieurs générations, car le deuil, lui aussi, a sa temporalité.
Une église, une liturgie et des chants adaptés, des fleurs, des bougies allumées, un cimetière, le marbre d’une tombe, le bois d’un cercueil, un nom gravé dans la pierre, la croix qui le surplombe… Notre société, portée par la foi chrétienne, a lentement affiné sa façon d’accompagner ceux qui sont tristes et espèrent. Où Victor Hugo aurait-il pu poser son bouquet de houx vert et de bruyères en fleur ? Où donc vos enfants évoqueront-ils votre mémoire devant vos petits-enfants ? Mon enterrement n’est pas une question individuelle, il concerne tous ceux qui me pleureront et qui voudront montrer leur amour et leur foi, par une visite, une prière ou un bouquet.
La mode de l’incinération semble donc une nouvelle harmonique de la déprime occidentale qui rejette le génie de son passé. L’incinération n’est-elle pas le meilleur moyen de disparaître sans laisser de traces, alors que le Créateur a voulu que nous imprimions notre empreinte dans ce monde où nous avons aimé ? Un monde dans lequel Dieu lui-même a aimé et pris chair.
07:00 Publié dans Foi | Lien permanent | Commentaires (0)