mardi, 23 avril 2013
Rendez-vous à Venise, ou à jamais - Stromae
Vérone, Crédits photographiques Ian Webb
Magdalena Bay, François Auguste Biard
La dame bleue, Camille Corot
http://www.youtube.com/watch?v=CAMWdvo71ls
Vous les hommes vous êtes tous les mêmes, Macho mais cheap,
Bande de mauviettes infidèles, Si prévisibles,
Non je ne suis pas certaine Que tu le mérites,
Vous avez de la chance qu'on vous aime, Dis-moi merci.
Cette fois c'était la dernière, Tu peux croire que c'est qu'une crise,
Mate une dernière fois mon derrière, Il est à côté de mes valises,
Tu diras au revoir à ta mère, Elle qui t'idéalise,
Tu ne vois même pas tout ce que tu perds, Avec une autre, ce serait pire.
Quoi, toi aussi tu veux finir maintenant ? C'est le monde à l'envers,
Moi je le disais pour te faire réagir seulement, Toi t'y pensais.
- MOCHE OU BELLE - BETE OU BELLE - BELLE OU MOI - MOI OU ELLE -
C'EST JAMAIS BON... C'EST JAMAIS BON... C'EST JAMAIS BON.
http://www.youtube.com/watch?v=zeHWMnHrH3s
13:33 Publié dans Beaux-Arts, Peinture, Photographie, Votre dévouée | Lien permanent | Commentaires (0)
La Passion selon saint Jean - II - Bach, Richter 1964
Eglise Saint-Sulpice
Crédits photographiques Jana Hobeika
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...
07:40 Publié dans Foi, Musique, Photographie | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 22 avril 2013
La Passion selon saint Jean - I - Bach, Richter 1964
Eglise Saint-Sulpice
Crédits photographiques Jana Hobeika
http://www.youtube.com/watch?v=1QpHP7_bVS8&feature=pl...
07:39 Publié dans Foi, Musique, Photographie | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 21 avril 2013
Messe en si - ET ENCORE - Bach, Richter 1962
Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Basilique du Sacré-Coeur, Montmartre, Paris
A consulter également : http://annebrassie.fr/?p=153
Extrait de La pensée catholique de Jean-Sébastien Bach, Maxence Caron, 2010, Via Romana :
[...]
Le Gloria est constitué d'huit épisodes harmonieusement répartis, soit : choeur, aria, choeur, duo, choeur, aria, aria, choeur - Gloria et in terra pax, laudamus, gratias agimus, Domine Deus, Qui tollis, Qui sedes, Quoniam tu, Cum Sancto Spiritu. Quatre sont confés au choeur et quatre aux solistes, et l'on constate ainsi l'alternance de l'unité des armées angéliques et de la solitude humaine, [...] dans le plus beau des amours, à son Ami, Maître, Père, Sauveur et Frère - le Seigneur.
Lors des arias, l'humanité ne parle point seule, et nous l'avons vu, nous avons montré la belle complexité du discours de Bach, car la parole humaine est toujours accompagnée de la surnature, [...] jusques à parvenir à la thématique incarnatrice, moment où le "miserere nobis" et le "suscipe deprecationem" font entendre l'oxymore musical d'une détresse pacifiée par la présence divine transmise dans la perpétuelle communion à la parole des saints Anges et à leur foi dont on prononce de tout coeur les paroles véritables.
La présence divine infuse chaque pan de parole au sein de ce Gloria, et le moment de pure singularité humaine est encore, en sa solitude même, transporté au coeur même du Coeur de Dieu dont la miséricordieuse kénose le porte.
Se procurer l'ouvrage :
La pensée catholique de Jean-Sébastien Bach
Maxence Caron
2010
Via Romana
273 pages
Eglise Saint-Germain-des-Prés
Crédits photographiques Jana Hobeika
12:17 Publié dans Ecrits, Foi, Littérature, Musique, Photographie | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 20 avril 2013
Foot ou [...!?...], il [ne] faut [pas] choisir.
Mademoiselle Marion : Messieurs, est-ce que vous aimez le Paris-Saint-Germain ?
Adrien : Ah je trouve que c'est une très bonne équipe qui est malheureusement parfois mal représentée mais qu'il faut toujours supporter avec coeur et passion.
Mademoiselle Marion : Quel est ton prénom ?
Adrien : Moi, c'est Adrien.
Mademoiselle Marion : Et toi ?
Charles : Charles.
Mademoiselle Marion : Bon, Charles et Adrien, oh-là-lààà, vous êtes très seixième, très huitième arrondissement ?
Adrien : Mais on en vient, oui, seixième, oui, c'est ça.
Mademoiselle Marion : C'est ça. Alors, euh, est-ce que vous serez devant votre télévision dimanche pour suivre PSG-OM ?
Adrien : ...
Charles : J'ai pas Canal Plus, mais je serai à la radio, oui.
Mademoiselle Marion : Et toi ?
Adrien : Je serai à la radio, je pense que Charles m'invitera et puis on regardera, on écoutera ça ensemble.
Mademoiselle Marion : Tu suis un petit peu les résultats du Paris-Saint-Germain ces derniers temps ?
Adrien : J'les suis un petit peu de loin. C'est vrai que bon, en prépa, c'est vrai que - j'suis en prépa - on n'a pas trop l'temps vraiment de suivre tout ça, maiaiais, mais bon, avec passion, le football, c'est vrai que c'est très important.
Mademoiselle Marion : Très important. Une victoire du Paris-Saint-Germain face à l'OM ce week-end ?
Adrien : Ah c'est souhaitable. Ah, pour le moins, souhaitable. Et vraiment, ce serait vraiment très encourageant pour cette équipe, parce que j'pense qu'elle le mérite.
Mademoiselle Marion : D'accord... T'sais qu'on va garder des images de toi, parce que dans vingt ans ou dans vingt-cinq ans, j'te vois bien premier ministre, touah.
Adrien : Premier ministre ?
Mademoiselle Marion : Oui.
Charles : Oui c'est... c'est gentil.
Adrien : C'est gentil.
Charles : Je le verrais plus à la tête de l'Etat moi.
Adrien : J'pense qu'il faut pas donner trop d'honneurs aux jeunes gens comme moi. J'pense que, vous savez, une carrière, ça se construit. On peut pas dire à dix-huit ans, ou dix-neuf ans comme moi, "oui alors je serai premier ministre". Non, j'pense que ce sont des choses qui se construisent petit à petit et c'est un développement personnel avant tout.
Mademoiselle Marion : Avant tout. Merci messieurs.
Adrien : Mais je vous en prie.
En 2010...
La séquence démarre à 1'28''
http://www.dailymotion.com/video/xfiaw6_psg-om-le-micro-t...
07:12 Publié dans Farce et attrape, Politique & co, Trivialités parisiennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : psg, om, football, ministre
Et puis seulement quand c'est fini, alors on danse - Stromae
Qui dit études dit travail,
Qui dit taf te dit des thunes,
Qui dit argent dit dépenses
Et qui dit crédits dit créances,
Qui dit dettes te dit huissier
Et, lui, dit assis dans la merde,
Qui dit amour dit les gosses,
Dit toujours et dit divorce,
Qui dit proches te dit deuil
Car les problèmes ne viennent pas seuls.
Qui dit crise te dit monde,
Dit famine et dit tiers-monde,
Qui dit fatigue dit réveil
encore sourd de la veille.
ALORS ON SORT POUR OUBLIER TOUS LES PROBLEMES ALORS ON DANSE.
Vitrine boulevard Haussmann, 2012
Et là tu te dis que c'est fini
Car pire que ça ce serait la mort.
Quand tu crois enfin que tu t'en sors,
Quand y'en a plus, hé benh y'en a encore.
Est-ce la zique ou les problèmes,
les problèmes ou bien la musique.
Ca te prend les tripes,
Ca te prend la tête,
Et puis tu pries
Pour que ça s'arrête.
Mais c'est ton corps,
C'est pas le ciel,
Alors tu te bouches plus les oreilles.
Et là tu cries
Encore plus fort
Et ca persiste
Alors on chante.
ET PUIS SEULEMENT QUAND C'EST FINI ALORS ON DANSE.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...
04:33 Publié dans Thèse, Trivialités parisiennes, Votre dévouée | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 19 avril 2013
Ces jeux absurdes, mots doux, insultes, coups et caetera et caetera - Stromae
¤ ¤ ¤
Bijoux-bisous et le tralala,
Mots doux et coups bas,
Insultes, coups et caetera et caetera
Et même en changeant d'avis,
Même en sachant qu'on a tort,
On ne changera pas la vie
Donc comme tout le monde, je vais en souffrir, jusqu'à la mort.
IMAGINE-MOI DANS MES VIEUX JEANS
Vitrine boulevard Haussmann, 2012
Un jour je L'ai vUe, j'ai tout de sUite sU que...
Qu'on aLLait devoir faire ces jeux absUrdeux,
Bijoux-bisous et le traLaLa,
Mots doux et coups bas,
InsULtes, coups et caetera et caetera,
Non pas les miens mais les siens, oui.
Notre enfant deviendra aussi le sien ensuite.
Enfin c'est le juge qui insistera, j'imagine.
Imagine-moi, télé sous le bras
Et mes jeans sales et puis tout ça...
Je l'aime à mort mais pour la vie,
On se dira oui, à la vie, à la mort,
Et même en changeant d'avis,
Même en sachant qu'on a tort,
On ne changera pas la vie
Donc comme tout le monde, je vais en souffrir, jusqu'à la mort.
Je voudrais être son ombre
Mais je La déteste,
Même au bout du monde,
Hé bien qu'eLLe y reste.
Oui, je L'aimais teLLement
Que je L'aime encor.
Je n'aurai pas Le choix, non,
Jusqu'à La mort.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...
Un jour, je la reverrai, je le saurai tout de suite,
Que ce sera reparti pour un tour de piste,
Un môme de plus, un nouveau juge,
Et puis leurs odeurs de pisse,
Ça deviendra juste une fois de plus répétitif.
Imagine-moi dans mes vieux jeans
Mais cette fois-Là sans domiciLe,
Le moraL bas, en haut d'un pont, d'une faLaise ou d'un buiLding,
J'aurai L'air d'un con quand je sauterai dans Le vide.
Je l'aime à mort, je l'aime à mort,
Je l'aime à mort, je l'aime à mort, je l'aime à mort !
Je l'aime à mort, oui, je l'aime à mort, je l'aime à mort,
Je l'aime à mort, je l'aime à mort, je l'aime à mort.
09:13 Publié dans Trivialités parisiennes, Votre dévouée | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : masque, venitien, venise