mercredi, 27 août 2014
Style in Paris # 2
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mardi, 26 août 2014
Style in Paris # 1
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lundi, 25 août 2014
Les tutos n'aiment pas les B.O.
07:00 Publié dans Farce et attrape | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 24 août 2014
@ Harissa #1
12:00 Publié dans Beaux-Arts, Foi, Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 23 août 2014
Etymologie - tank
Source : Direct Matin lundi 30 juin 2014
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> Pour davantage : http://fichtre.hautetfort.com/les-mots-francais.html
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vendredi, 22 août 2014
Du noir aux fleurs
http://www.museedesnuages.fr/documents/Gitanes.html
Extrait du billet d'Audrey Diwan, in magasine gratuit Stylist, N°051, 5 juin 2014 :
Mauvaise habitude n°34
Un matin, tu te lèves et tu ressens le besoin profond d'acheter du tissu à fleurs. Oui, c'est comme ça. Dieu sait que ça ne te ressemble pas. Tu vis en général habillée comme une protagoniste de The Artist. En noir et blanc. Et plutôt en noir d'ailleurs, version "veuve corse", comme le faisait souvent remarquer ta mère qui a le sens de l'image et le vocabulaire haut en couleur, lui.
Pourtant, tu ne notes pas immédiatement le changement qui s'est produit en toi, trop occupée sûrement à découvrir ta nouvelle nature, légère, prolixe, et à embrasser ces désirs inconnus qui ont soudain fleuri dans ton esprit. Désirs neufs que tu t'empresses d'aller cueillir, ambiance "mignonne, allons voir si la rose". Tu as envie de mettre du Liberty partout, d'en recouvrir des coussins, d'en faire des rideaux. Tu passes donc les portes du Printemps, guidée par un sens très lexical du réel. Et justement, quelle belle coïncidence, le magasin entier croule sous la mode végétale. [...] Tu penses à la nécessaire satisfaction des désirs contemporains. Quelle que soit l'idée qu'on plante dans ta tête, elle devient obsessionnelle et croît jusqu'à ce que son assouvissement se mue en nécessité impérieuse.
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jeudi, 21 août 2014
She waits XXX - Le palais de nos chimères
http://www.youtube.com/watch?v=Z3-GOLz1XtM
Nous nous sommes mariés par un jour de printemps
Sans prêtre, sans mairie, sans amis, ni parents
Nous n'avions tout au plus elle et moi que vingt ans
Mais un désir d'adulte brûlait nos cœurs d'enfants
L'amour en une nuit émancipa nos cœurs
Nous étions enlacés tout honteux de bonheur
Dans nos yeux agrandis ne passait nulle peur
Car la jeunesse rit quand l'enfance se meurt
Le palais de nos chimères
Nous l'avions bâti sur l'horizon
Et nous ceinturions la terre
Elle et moi, comme deux vagabonds
Pour s'abreuver à la source
De l'amour cet éternel printemps
Nous nous partagions la mousse
Du château de la rose des vents
À présent je suis seul je marche toujours
Mais quand je sentirai venir mon dernier jour
Sur la tombe où déjà repose mon amour
Heureux j'irai m'étendre et mourir à mon tour
Et sous la même croix nos deux corps dormiront
Nos yeux seront cernés par le même horizon
Et de la même terre nos bouches s'empliront
Quand pour l'éternité nos âmes s'uniront
Le palais de nos chimères
A croulé avec mes illusions
Et sous le poids de ses pierres
Se lézarde un cœur de vagabond
Mon passé qui me domine
Me pousse à errer par tous les temps
Et dormir parmi les ruines
Du château de la rose des vents
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