jeudi, 05 juin 2014
Le cigare de Sigmund
Avis aux fumeurs occasionnels ou passionnels
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Freud (1856-1939)
Source : http://did.asso.fr/les-cyberscopies/98-philippe-grimbert-...
[...] « Ce qui est bon est mauvais », aurait tendance à marteler le discours moralisateur ou hygiéniste d'aujourd'hui, renouant avec une forme de culpabilité névrotique : la chanson s'est ainsi trouvée reléguée au rang d'art mineur, le tabac diabolisé bien au delà de sa réelle toxicité. [...]
Pas de fumée sans Freud ? Sans doute, si l'on suit à la trace le parcours douloureux de la relation qu'entretint tout au long de sa vie l'inventeur de la psychanalyse avec son cigare : du propre aveu de Freud, le tabac fut l'indispensable adjuvant, la condition sine qua non à l'élaboration de son œuvre. Mais tout aussi sûrement cette addiction le mena à la destruction et à la mort, dans une volonté d'aveuglement qui mérite d'être interrogée. L'auteur suit Freud tout au long de ce parcours passionnel qu'il faut bien appeler l'« inanalysé freudien », à la rencontre d'une difficile question : pourquoi fume-t-on ? [...]
Crédits photographiques Jana Hobeika
Remerciements Laurie Hobeika
Sigmund Freud et sa fille Anna
07:00 Publié dans Photographie, Portraits de personnalités | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je pense qu'a partir du moment où l'on respecte sa propre personne, on se contente de ce que l'on est en tant qu'être humain toute ces choses là tombent dans l'oubli; avoir la paix et la sérénité en soi!
Écrit par : Stephan Rémi | jeudi, 30 octobre 2014
Écrit par : Stephan Rémi | jeudi, 30 octobre 2014
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