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mardi, 10 juillet 2012

Hot Shots 1

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Film : Hot Shots 1 (1991, durée 1h24)

Réalisateur : Jim Abrahams

Topper Harley (Charlie Sheen), Ramada (Valeria Golino), Kent Gregory (Cary Elwes), l'amiral Tug Benson (Lloyd Bridges), Lieutenant Commandant Block (Kevin Dunn), Richard Pfaffenbach "fausse couche" (Jon Cryer), Pete Thompson "pas de bol" (William O'Leary), Kowalski (Kristy Swanson)

 

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> Pour tester préalablement vos conaissances :

http://www.rottentomatoes.com/quiz/hot-shots-les-replique...

http://www.quizz.biz/quizz-188152.html 

 

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LC Block : Amiral, c'est une joie de vous revoir. Ca faisait une paie.

Amiral Benson : Soyons exacts, disons une solde.

LC Block : J'étais impatient.

Amiral Benson : Un patient. Vous êtes malade mais je suis pas médecin major, moi. De quoi souffrez-vous ?

LC Block : Non, non, impatient de commencer.

Amiral Benson : Je file, ça ira, vous guérirez.

 

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Topper : C'est toute ta famille ?

Pas de bol : Oui, le chien, la femme, les gosses. T'as des photos de ta famille ? J'adore comparer.

Topper : Ma seule photo de famille, c'est moi.

Pas de bol : Mais on a tous besoin d'une famille, de gens à aimer.

Topper : J'ai jamais trouvé le tems pour ça, ça ramollit la tête, il y a d'autres chose que l'amour. J'ai mieux, j'ai le ciel, l'odeur du kérosène, ma moto.

Pas de bol : Solitaire.

Topper : Non, Kawazaki.

 

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Kent : A ta place, je ferais attention.

Topper : J'crois qu'on s'connaît pas.

Kent : Kent Gregory. Désolé, j'ai pas envie de serrer la main d'un rigolo dont le père a causé la mort d'un mec qui m'était très précieux. Oui, Dominic Mailman, tu vois ?

Topper : Tu veux dire...

Kent : Oui, Mailman était mon père, figure-toi, ce qui fait que j'étais son fils.

 

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Topper : Oh ces jambes, ce qu'elles sont longues.

Ramada : Oui, je les ai fait rallonger. Elles vont jusqu'à terre à présent.

Topper : Waw. Je suis content de vous revoir. Il m'a épaté votre numéro avec cet étalon. En vous regardant l'exécuter à coups de talons, tirer à mort sur les rennes pour qu'il obéisse, je fantasmais que c'était moi votre cheval. Quand j'aurai vu mon psy, on pourrait peut-être aller faire un petit gallop dans les prés, non ? 

Ramada : Lieutenant, c'est moi, la psy.

Topper : Vous êtes psychiâtre ?

Ramada : D'après ce diplôme, oui.

Topper : J'ai jamais vu de psychiâtre de ma vie. Vous me ferez pas mal ?

Ramada : Lieutenant Harley, j'ai parcouru votre dossier. Je vois que l'armée vous a radié il y a quinze mois à la suite d'une grave insubordination. Vous avez désobéi aux ordres et il en est résulté la perte d'un chasseur de trente millions de dollars.

Topper : Euh oui, c'est exact. Mais je rembourse, je verse dix dollars par semaine et mon assurance va sans doute prendre en charge la franchise.

Ramada : Il semblerait que votre père ait eu un accident similaire il y a vingt ans.

Topper : Ce qui veut dire ?

Ramada : Le lieutenant Buzz Harley, trois citations, médaille du mérite militaire, et soudain cet incident, la mort de Dominic Mailman. Ensuite, en 1971, suppression de sa carte visa. En 1975, je lis toujours, un homme au cœur brisé s'est pendu alors qu'il était gardien de nuit dans un photomaton. Euh... à quel point cela vous affecte-t-il ?

Topper, après que son cœur ait explosé : Moi, euh... tout ça, j'y pense plus, c'est le passé. Il y a de ça tellement longtemps. Vous m'excusez, il faut que j'aille graisser mon fusil ?

Ramada : Lieutenant, vous devriez peut-être voir un psychiâtre de façon plus régulière.

Topper : J'attendais que vous me le demandiez.

Ramada : Professionnellement j'entends.

 

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Amiral Benson : Messieurs, asseyez-vous. Peut-être vous étonnez-vous de la coupe de mon pantalon, mais c'est le tissu qui est venu à manquer, il y en avait juste assez pour aller au genou, alors me faites pas chier. Bien, en vous voyant tous ici devant moi, jeunes gens, je me dis que je donnerais ma chemise pour avoir vingt ans de moins, et être une femme. Messieurs, j'ai moi-même à mon tableau quatre-vingt-seize missions et j'ai été descendu chaque fois. Quand j'y pense, en fait, j'ai jamais atterri avec mon avion. Les gars, vous êtes appelés à piloter les plus beaux fleurons de notre arsenal aéronautique, l'Oscar E.W. 58-84, notre nouveau bombardier phalloïde et tactique. La conception futuriste de ses ailes en fait un appareil élégant et facile à manoeuvrer. Son équipement haut de gamme allie confort, sécurité et armement sophistiqué, avec une garantie d'un an, pièces et main d'oeuvre. Idéal pour la vitesse et les acrobaties, il est doté en série du système de radar 28-32 de chez Pauline Rubinstein.

 

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Paroles de la chanson : Someday he'll come along, the man I love. And he'll be big and strong, the man I love. And when he comes my way, I'll do my best to make him stay. He'll look at me and smile, I'll understand. And in a little while, he'll take my hand. And though it seems absurd, I know we both won't say a word.  Maybe I shall meet him someday, maybe Monday, maybe now. Still I'm sure to meet him one day, maybe Tuesday will be my good news day. We'll build a little home, just meant for two, from which I'll never run [...]. And so what else I've got, I'm dreaming of the man I love. One day he'll come along, he'll be big and strong. And when he comes my way, I'll do my best to make him stay. And so what else I've got, I'm dreaming of the man I love.

 

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Kent : Voilà le héro de l'aviation marine.

Topper : Kent, tu as les narines qui papillottent.

Kent : Ta façon de voler, c'est de la frime criminelle. Si y'avait pas une dame ici, j'te découperais comme une dinde de Noël.

Topper : Oui ? Et pousse pas trop ou tu te réveilleras un mort dans ton sommeil.

 

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Kent : Tu as pensé à ma proposition ? Vivre loin de tout, une petite maison, friteuse, un lave-linge tout neuf.

Ramada : Kent, tu as tout ce qu'une femme peut demander au bon Dieu, mais c'est trop tôt pour que je songe au mariage. Attends.

Kent : Bon, allez, je vais rentrer à la base. Demain je pilote en vol. J'ai les yeux bouffis moi si je ne dors pas huit heures au moins.

 

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Ramada : Voilà, c'est ici. 

Topper : Ca a l'air mignon.

Ramada : Assez, oui. Le seul problème, c'est que j'ai une logeuse trop curieuse. Bon, alors, je vous dis bonne nuit.

Topper : Non, ne partez pas.

Ramada : Je n'en ai aucune envie. Je ne veux pas être seule. Et puis je peux y aller toute la nuit comme une bête.

Topper : Oui, mais votre logeuse ?

Ramada : Vous vous la ferez dans la foulée.

 

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Pas de bol : Fausse couche, pourquoi tu n'es pas en tenue de vol ? Dépêche-toi, on décolle, mon gars. 

Fausse couche : J'ai été viré de l'escadrille. Je peux pas rester ici, on m'a interdit de vol. J'suis foutu, Pas de bol.

Pas de bol : Pourquoi ? Explique.

Fausse couche : Je vois rien ! Je suis strabique divergent.

Pas de bol : Est-ce que ça pourrait pas se soigner ?

Fausse couche : Oui, en réalisant une inversion de cornées, on appelle ça une multi-ophtal-pupilloptomie. Mais l'ennui, si on veut pas bousiller les circuits, c'est qu'il faut passer à travers le rectum. Et il est pas question qu'un homme passe par là.

 

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Mary : Pas de bol !

Pas de bol : Marie ! Tu viens pour m'admirer ?

Mary : On a eu une explosion au centre nucléaire alors on m'a donné la journée libre.

Pas de bol : Ah ils sont chics.

Mary : Oh, j'ai une bonne nouvelle ! Ca y est, on a le crédit pour notre petite maison.

Pas de bol : Magnifique, alors on emménage quand ?

Mary : Lundi. Les gosses ont déjà commencé à gratter l'amiante cancérigène sur les tuyaux.

Pas de bol : Oh, c'est épatant ! Chérie, notre vie est vraiment sous un bon signe. Tu es mon porte-bonheur.

Mary : Oh, tu dois signer les papiers de ton assurance vie.

Pas de bol : Bien sûr.

Mary, laissant échapper son miroir de poche qui se brise au sol : Oh, oh, mon miroir...

Pas de bol, dont le stylo n'écrit pas : Ah...

Mary : Attends, j'ai mon stylo.

Pas de bol : Non, laisse, je la signerai en rentrant ce soir.

Mary: Bien sûr, rien ne presse.

Pas de bol : Chérie, tu sais, tous nos pépins avec les préliminaires ? Je crois savoir comment ça peut se régler.

Mary : Dis-moi !

Pas de bol : Non, ce soir, vilaine gourmande ! Sois un peu patiente, on va se régaler. Je te parlerai de mon enquête sur l'assassinat de John Kennedy.

Mary : Oh, tu as trouvé la piste du vrai meurtrier ?

Pas de bol : Oui, j'ai la preuve ici dans ma poche. Ca fera l'effet d'une bombe. J'vais faire tomber des têtes.

Mary : Veux-tu que je mette tout ça sous clé ?

Pas de bol : Non, sur moi c'est plus sûr encore. A bord d'un jet, je ne crains guère les voleurs.

Mary : Je t'aime tant. Je vis dans un tel paradis, Pas de bol, que ça ne changera jamais.

 

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Topper : Madame Thompson, je sais que vous m'en voulez mais, si ça peut vous aider, alors voilà, j'ai pas mal économisé depuis ces dix dernières années. C'est pas grand chose, six cent dollars, j'aurais voulu faire plus.

Mary : Mais, Topper, c'est si gentil. Avec ça et les trois millions de dollars que j'ai eu la chance de gagner au loto, j'ai de quoi régler le plus urgent. Il restera juste assez... pour aller en croisière.

 

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- Ca arrive du Pentagone à l'instant. On vient de le décoder.

Amiral Benson : Ah, tenez, lisez-le moi, on m'a refait les yeux en céramique, un bazooka fou à Little Big Horn, peut-être Okinawa... la bagarre où y'avait pas d'Indiens.

- C'est l'ordre d'attaque. C'est demain matin à six heures juste.

Amiral Benson : Excellent. Faites-moi réveiller à, disons, six heures et demi.

 

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Amiral Benson : Asseyez-vous. Messieurs, nous avons déjà assez longtemps rongé notre frein. C'est fini. Dans exactement cinq heures et dix-sept minutes, nous attaquons le Capitole.

LC Block : Vous voulez dire la capitale, je crois.

Amiral Benson : Hein ? La capitale ? Ah bah je dois changer mon plan, mais j'ai l'habitude. Voilà, votre mission, détruire l'usine d'armes atomiques de Falafel City. Elle doit être inaugurée ce soir et elle a un système de défense très sophistiqué. Alors, si vous n'arrivez pas à atteindre votre objectif, vos cibles secondaires sont ici et là, l'école d'harmonica et l'usine de bonbons. Bonne chance, messieurs.

 

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LC Block : Qu'est-ce qui vous turlupine, Harley ? 

Tupper : J'espère me tromper, je vous jure.

LC Block : A quel propos, Tupper ?

Tupper : Un boxer se braquerait si on entraîner s'arrangeait pour qu'il perde.

LC Block : Si vous vous expliquiez mieux ?

Tupper : Mon oncle m'a appris que ne pas jouer pour gagner, c'est comme coucher avec sa sœur. C'est peut-être un coup somptueux avec des cadeaux plein le corsage, mais c'est illégal.

LC Block : Nom de Dieu, je ne vous suis pas.

Tupper : Et en plus on risque de faire des gosses malsains, qui naissent édentés avec du poil partout, et de la mousse dans les oreilles, mais rien pour pisser.

LC Block : Maintenant, ça suffit.

Tupper : Moi, je n'aime pas finasser. On est dans le même camp, j'espère. 

 

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Tupper : Ramada.

Ramada : Autrefois peut-être. Le nom qu'on me donne, c'est Wawatukina.

Tupper : Qu'est-ce que ça veut dire ?

Ramada : Cuit avec son ventre.

 

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> Et maintenant, vous devriez faire un peu mieux  :

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